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Ndjassi Ndjass poursuit son beef avec Keurtyce.E Essamkwass dans “Ngwata”.

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Ndjadji Ndjass, l’ancien sociétaire du légendaire SI YA Possi X n’a pas encore raccroché le micro. Présent de façon aléatoire dans le milieu musical auquel il appartient, le rap, celui qui a inspiré une flopée d’artistes hip-hop dans les années 90 et 2000 a sorti un tout nouveau titre : “Ngwata”.

C’est dans le cadre d’un clash avec Keurtyce. E Essamkwass que Ndjassi Ndjass sort ce titre. Il fait suite aux piqûres envoyées par Keurtyce.E Essamkwass dans son titre paru au mois de juillet, “Seyougame 3”. Pour ce dernier, Ndjassi Ndjass aurait terni son image au cours d’une interview. Depuis le pays où il vit depuis près sept (07) ans, la Chine, le rappeur s’est senti obligé de réagir.

Comme une réaction en appelle une autre dans le milieu du rap game, Ndjass Ndjass n’est pas resté de marbre. En sortant “Ngwata”, l’artiste entretien le clash. Dans son âme de rappeur, celui qui se faisait appeler autre fois “l’efficace” flatte son égo en se présentant comme un très grand qui regarde son prétendu adversaire à des kilomètres : “Si la lumière t’aveugle évite moi, je brille comme le soleil au Sahara”.

Il est à noter que ce titre voit la participation remarquée de Prudence. Pour ceux et celles qui ne l’a connaissent pas, Prudence est une artiste qui a contribué à la valorisation de la culture gabonaise par l’expression d’un style musical inspiré du terroir de sa province d’origine, le HAUT-OGOOUÉ.

Ndjassi Ndjass – Ngwata

Mihi…

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De Libreville à l’international : Espoir la Tigresse et le défi de la visibilité

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La scène musicale gabonaise, portée par la victoire de Emmana au PRIMUD et la nomination d’Espoir la Tigresse au Prix Découvertes RFI 2023, est le théâtre d’un débat enflammé. Espoir la Tigresse, voix émergente et figure de la revendication, dénonce ouvertement les organisateurs de spectacles au Gabon, mettant en lumière une préférence marquée pour les artistes étrangers au détriment des talents locaux.

“Le Gabon invite tous les artistes des pays voisins avec de gros cachets, mais en retour ils ne nous rendent pas la pareille”, déclare Espoir la Tigresse de manière cinglante lors d’un direct sur ses réseaux sociaux. Cette déclaration souligne un malaise profond dans l’industrie musicale gabonaise, où les artistes locaux luttent pour obtenir une reconnaissance internationale malgré leurs succès nationaux.

Alors que le Gabon a historiquement brillé avec des légendes telles qu’Oliver N’goma et Patience Dabany, la nouvelle génération, symbolisée par Espoir la Tigresse, se heurte à un mur d’injustice. La chanteuse, soutenue par la communauté artistique et ses fans, soulève la question cruciale de la notoriété nécessaire pour être tête d’affiche d’un spectacle international, tout en interrogeant la capacité à mobiliser un public international.

Un autre défi émerge : la difficulté des artistes gabonais, souvent sur la scène de l’Institut Français de Libreville (400 places), à remplir cette salle. Cette réalité soulève une interrogation inévitable : quel organisateur de spectacles pourrait risquer d’inviter un artiste gabonais à l’international en tête d’affiche ou en ouverture, surtout lorsque leur notoriété locale est parfois mise à l’épreuve ?

Alors que la revendication d’Espoir la Tigresse résonne, l’article met en lumière le combat de la chanteuse pour une scène internationale plus inclusive. Les propos francs de l’artiste soulignent les tensions entre les artistes et les organisateurs, interrogeant la politique de programmation des événements musicaux. La quête de reconnaissance à l’international devient ainsi un débat animé au sein de la scène musicale gabonaise, où les enjeux d’équité, de notoriété et de remplissage de salles occupent le devant de la scène.

Mihi…

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KS Bloom ne veut pas aller au Paradis sans Fally Ipupa

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La nuit du 25 novembre à l’U-Arena, Paris, a été témoin d’une bataille musicale et spirituelle qui fait actuellement rage dans le monde de la musique. Fally Ipupa, la superstar de la Rumba, a ébranlé la scène en attirant une marée humaine de 40 000 fans, éclipsant ainsi le précédent record de Burna Boy. Cependant, la victoire de Fally n’est pas sans son lot de controverses, et au cœur de cette tempête se trouve KS Bloom, le chanteur gospel ivoirien.

Dans une diatribe mordante, KS Bloom n’a pas mâché ses mots. “40 000 personnes en train d’écouter ‘1 coup 1 coup’, vous avez accepté de payer pour y aller. Mais payer pour rester dans la présence de Dieu, ça vous fait trop mal,” a déclaré l’artiste, mettant en question la légitimité spirituelle d’un concert qui, selon lui, ne rend pas grâce au Seigneur.

Alors que Fally Ipupa est acclamé pour son triomphe, KS Bloom s’est catapulté au centre d’une polémique qui révèle les profondes divisions au sein de l’industrie musicale. Ces commentaires incendiaires de l’artiste gospel, habituellement tolérant envers ses pairs non-chrétiens, laissent entrevoir une fracture grandissante entre la musique mondaine et les convictions spirituelles.

Cette controverse jette une lumière crue sur le débat houleux de savoir si la musique peut transcender les frontières spirituelles ou si elle devrait rester ancrée dans des domaines plus sacrés. Alors que Fally Ipupa célèbre sa victoire, KS Bloom défie ouvertement l’idée que le succès musical devrait être mesuré uniquement en termes de foule rassemblée.

La scène musicale est maintenant le théâtre d’une bataille entre le divin et le profane, le sacré et le mondain. Alors que la musique devrait unir, elle devient le champ de bataille de croyances divergentes, élevant la question cruciale de savoir si la diversité musicale peut coexister harmonieusement dans un monde toujours plus polarisé. La controverse entre KS Bloom et Fally Ipupa continue à faire des vagues, transformant ce triomphe musical en un débat passionné sur le rôle de la spiritualité dans notre expérience musicale contemporaine.

Mihi…

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Emma’a “S’en fout” de Sean Bridon

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De passage en Côte d’Ivoire pour promouvoir sa carrière et peu avant son triomphe au Primud de Molare, la talentueuse chanteuse gabonaise, Emma’a, s’est ouverte sur des aspects intimes de son parcours artistique. Lors d’une entrevue à Life Radio, elle a abordé sa relation passée avec Sean Bridon, son ancien producteur au sein du label Sean TV au Gabon.

Emma’a, dont le succès transcende les frontières, a répondu à des questions pointues sur sa vie personnelle et professionnelle. Interrogée sur sa relation avec Sean Bridon, elle a esquissé un sourire en déclarant qu’il était son “Ex”, laissant planer un certain mystère sur les détails de cette histoire.

La chanteuse n’a pas caché son désintérêt quant à la contribution de Sean Bridon à son succès. Répondant avec une pointe de sarcasme, elle a déclaré : “Je m’en fous de lui ; il va profiter de quoi ? C’est lui qui a écrit ‘Encré’?” Cette référence à sa propre chanson soulève des questions sur la collaboration passée entre les deux artistes.

Le départ d’Emma’a du label Sean TV pour signer chez Sony Music Africa semble avoir marqué un tournant dans sa carrière. Les fans se demandent désormais si cette transition a été influencée par des tensions au sein du label ou par d’autres facteurs.

La déclaration d’Emma’a suscite l’attention et alimente les spéculations dans le monde médiatique. Les auditeurs et les fans attendent avec impatience de découvrir davantage d’éléments sur cette histoire intrigante qui semble mêler musique et relations personnelles.

Alors que la chanteuse continue de captiver les foules avec son talent exceptionnel, l’interview à Life Radio offre un aperçu rare de la personne derrière la vedette. Les prochains développements de cette histoire promettent de tenir en haleine les admirateurs d’Emma’a et de la scène musicale africaine.

Mihi…

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