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l’Oiseau Rare, le nouveau phénomène.

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En vogue ces derniers mois, l’Oiseau Rare, la nouvelle coqueluche de la scène urbaine gabonaise fait l’unanimité. Installé en Côte d’Ivoire pour donner de l’allant à sa jeune carrière, le ressortissant de la Sorbonne n’a pas pour autant oublié son pays, le Gabon.

Très productif, l’artiste ne laisse pas le temps au public de souffler. Les hits s’enchaînent et le succès est encore plus impactant. Un succès qui se traduit par de nombreuses invitent au Gabon et dans sa diaspora africaine. En effet, durant cette période estivale, l’interprète de “Trahison” passe beaucoup de temps sur scène. Entre son spectacle au Sénégal sur l’invite de la diaspora gabonaise, son spectacle à la Plage Léon MBA de Libreville, son spectacle à Entre Nous Bar et sa toute dernière prestation au Show Des Vacs, le nouvel ambassadeur de la Tcham a confirmé les dires de bon nombres de Gabonais : ” Il est l’artiste du moment”.

Dans ces spectacles, où il n’a toujours pas été le seul artiste à se produire, l’Oiseau Rare a été très plébiscité par les spectateurs. Et ce, au point de faire de l’ombre à ses collègues. Sur scène, l’artiste tend le micro au public et celui-ci reprend toutes ses chansons en chœur, comme nous avons pu le voir dernièrement lors du Show des Vacs, au stade de Nzeng-Ayong. Du témoignage d’un spectateur, “L’aura que dégage L’oiseau Rare est similaire à celui Kôba Building, dans les années 2005-2009, quand il était au firmament de sa carrière musicale avec son label, Eben Entertainment”. Sans aller dans l’exagération, une bonne frange de mélomanes partagent ce sentiment à-mi mot.

Au Gabon, à l’heure où une nouvelle génération d’artistes émergent, un des leurs est sur une autre planète. Il s’appelle l’Oiseau Rare.

Mihi…

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Overmax Novelas – Dénonciation de la coupure d’électricité au CHUL : un cri d’alerte au prix de la liberté

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Depuis la diffusion de sa vidéo dénonçant une coupure d’électricité au Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL), Overmax Novelas, jeune lanceur d’alerte, est devenu le centre de toutes les attentions. Le 2 février, sa vidéo, tournée dans l’obscurité de l’hôpital, exprimait son inquiétude face aux risques encourus par les patients sous assistance respiratoire, suite à la panne du groupe électrogène. Un cri d’alarme relayé massivement sur les réseaux sociaux.

Les ministres de l’Énergie et de la Santé, alertés par l’indignation populaire, auraient confirmé la panne, comme on peut le lire dans certains médias. Mais la vidéo d’Overmax a également mis en lumière un problème récurrent : les coupures d’électricité fréquentes dans tout le pays. Si son geste a été salué par certains comme un acte de responsabilité citoyenne, il a aussi mis en difficulté l’image d’un établissement déjà fragilisé par des problèmes structurels.

Suite à la diffusion de la vidéo, l’administration du CHUL a porté plainte, comme le rapportent certains médias. Cette plainte a conduit à l’arrestation du jeune homme et à son placement sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville. Son acte, bien que fondé sur une légitime inquiétude pour la sécurité des patients, a soulevé des interrogations sur la répression des voix critiques, même lorsqu’elles visent à alerter sur des défaillances systémiques.

Dans un Gabon marqué par des tensions politiques et une transition en cours, l’arrestation d’Overmax Novelas interroge. La liberté d’expression, revendiquée par le président du pays dans le cadre de la transition, semble parfois mise à l’épreuve. L’incident pourrait être une occasion de rappeler que l’engagement citoyen, même s’il est maladroit, doit être traité avec équité.

À l’heure où le pays cherche à se réformer, une certaine clémence pourrait être de mise, non seulement pour celui qui a voulu alerter, mais aussi pour ouvrir un véritable débat sur la place des lanceurs d’alerte dans le Gabon de demain.

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RGEDD – Opération Plage Propre : 600 kg de déchets collectés à l’arboretum Raponda Walker

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Face à la pollution croissante des écosystèmes côtiers et forestiers du Gabon, une initiative d’envergure a été menée pour redonner à l’arboretum Raponda Walker son éclat naturel. Le samedi 1er février, l’ONG Réseau Gabonais pour l’Environnement et le Développement Durable (RGEDD), en collaboration avec l’armée française au Gabon et plusieurs partenaires locaux, a orchestré une vaste opération de nettoyage. Objectif : débarrasser la plage et la forêt des déchets accumulés et sensibiliser les citoyens à l’urgence d’une gestion responsable des déchets.

Une mobilisation citoyenne et militaire

Le samedi 1er février, 157 volontaires, issus de diverses organisations – SOBRAGA, ANPN, Clean Africa, ainsi que des militaires français et des bénévoles engagés – ont répondu à l’appel pour débarrasser la zone de ses nombreux déchets. Grâce à cette mobilisation, près de 600 kg de détritus ont été collectés, allant des bouteilles en plastique et canettes aux déchets en verre et autres résidus laissés par les visiteurs et les marées.

Aperçu des volontaires lors du nettoyage de l’Arboretum Raponda Walker.

L’initiative a également bénéficié d’un soutien logistique de taille : l’armée française a mis à disposition un hélicoptère pour transporter les déchets jusqu’à une benne de Clean Africa, garantissant ainsi leur acheminement vers un centre de traitement.

Vue de l’hélicoptère de l’armée française lors du nettoyage de la plage Raponda Walker.

Une action qui s’inscrit dans la durée

RGEDD n’en est pas à sa première intervention sur ce site. L’ONG mène régulièrement des opérations de nettoyage à l’Arboretum Raponda Walker et s’attaque également à d’autres espaces naturels, tant à Libreville qu’à l’intérieur du pays, depuis plusieurs années. Son engagement s’inscrit dans une démarche continue de protection de l’environnement et de sensibilisation des populations locales.

L’urgence environnementale mise en lumière

Si l’opération a permis d’améliorer l’état de la plage et de sensibiliser les participants, elle a aussi mis en évidence un problème de fond : la pollution chronique des espaces naturels. La forte présence de plastiques souligne l’urgence d’une meilleure gestion des déchets et d’une réduction des produits à usage unique.

Une partie des 600 kg de déchets collectés à l’Arboretum Raponda Walker par le RGEDD et ses partenaires.

Selon l’ONG RGEDD, cette initiative doit être suivie d’actions durables, notamment :
Renforcer les campagnes de sensibilisation sur la réduction des plastiques jetables.
Développer des programmes éducatifs pour encourager la gestion responsable des déchets.
Multiplier les opérations de nettoyage pour un impact sur le long terme.

Un engagement citoyen fort

Parmi les bénévoles, Roméo Nzigou témoigne :
“Voir autant de déchets dans un cadre aussi magnifique était choquant. Cette opération m’a fait prendre conscience de l’urgence d’agir et de la responsabilité de chacun dans la préservation de notre environnement.”

Roméo Nzigou, bénévole en casquette noire, participe activement au nettoyage de l’Arboretum Raponda Walker.

Un appel à l’engagement citoyen

Face à cette réalité, l’ONG RGEDD invite les citoyens à rejoindre ses actions et à s’engager pour la préservation de l’environnement.
➡ Pour devenir bénévole, un groupe WhatsApp a été mis en place : Lien d’inscription.
💚 Pour soutenir financièrement l’ONG, des dons peuvent être faits via PayPal : paypal.me/ONGRGEDD?locale.

Une photo de famille, capturée à l’issue du nettoyage de l’Arboretum Raponda Walker, immortalise cet acte de solidarité.

L’opération Plage Propre n’est qu’une étape parmi d’autres. RGEDD entend poursuivre ses actions pour la sauvegarde des écosystèmes du Gabon et appelle à une mobilisation collective pour préserver durablement notre patrimoine naturel.

La rédaction / RGEDD

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Afrik’an Legend : le clip de “C’est comment ?” franchit la barre des 10 millions de vues

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Près de cinq ans après sa sortie, le clip “C’est comment ?” d’Afrik’an Legend vient de dépasser les 10 millions de vues sur YouTube. Un cap symbolique pour ce morceau devenu un classique du groupe gabonais, qui avait déjà connu un succès fulgurant au Gabon, en Côte d’Ivoire et au Congo dès sa sortie, en juin 2020.

Si la vidéo stagnait autour des 9 millions de vues ces derniers mois, l’annonce récente d’un remix avec Fally Ipupa a redonné un second souffle à la chanson. Depuis deux semaines, les écoutes et les partages se sont multipliés, propulsant le clip au seuil tant attendu des 10 millions de vues. Un engouement qui laisse présager un véritable raz-de-marée pour la version revisitée avec la star congolaise.

Avec son immense popularité et son public fidèle, Fally Ipupa pourrait bien propulser “C’est comment ?” vers de nouveaux records. Reste à voir si ce remix marquera un tournant dans la carrière d’Afrik’an Legend, en élargissant encore davantage leur audience à l’échelle africaine et internationale.

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