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France / SNEP : ” Aïcha ” de Khaled, premier titre africain certifié disque de diamant

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Le 15 janvier 1997, la musique Africaine via Khaled et son titre ” Aïcha ” a été certifié disque de diamant, pour la toute première fois en France.

Depuis 1973, le Syndicat National de l’Édition Phonographique ( SNEP ) recompense les artistes dont les ventes atteignent un certain seuil. Pour distinguer l’ampleur de ces ventes, l’organisation classe en progression les singles ou albums en disque d’argent, d’or, platine et diamant. De cette époque, jusqu’au milieu des années 90, les singles ou albums des artistes africains avaient du mal à atteindre la récompense ultime : le disque de diamant.

Aïcha ( Clip officielle )

C’est à l’approche des années 2000, plus précisément le 15 janvier 1997, que cette haute-marche avait été atteinte. En effet, à cette date, la SNEP a certifié le titre ” Aïcha “ de Khaled disque de diamant, conformément au seuil de ventes de l’époque ( 1.000.000 ). Une sacrée récompense pour cet artiste algérien, dont la carrière a connu une ascension fulgurante au début des années 90.

Wes – Alane

Cette récompense a ouvert la voie à d’autres artistes, en commençant par le camerounais Wes Madiko. Ce dernier a connu le même destin que Khaled au cours de la même année, plus précisément le 25 juin, avec un single phare de l’été ” Alane “. Ces premières réussites inspirent les plus jeunes.

Si à l’époque, il était difficile pour l’africain de toucher le sommet, aujourd’hui Il le tutoie fréquemment. Ce n’est pas Gim’s, Aya Nakamura, Ninho et les autres qui diront le contraire.

Mihi…

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Ouverture du Dialogue National Inclusif : La bataille pour la reconnaissance du succès d’André Pépé Nzé

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Le Dialogue National Inclusif au Gabon, marqué par des interventions artistiques poignantes, a mis en lumière le talent de l’artiste gabonais André Pépé Nzé. Cependant, cette éclatante prestation a été rapidement entachée par un conflit de reconnaissance, alors que Bung Pinze de son vrai nom Juste Parfait Moubamba, conseiller du Ministre de la Culture, revendique le mérite d’avoir permis à l’artiste de monter sur scène.

Juste après la remarquable interprétation de Pépé Nzé sur le titre “NZÂL (le village)”, qui a ému tant le Président de la Transition que le public présent et les internautes, des personnes ont pris la parole pour rappeler aux jeunes qui était André Pépé Nzé et même expliqué la teneur de sa chanson après sa prestation sur la toile. Bung Pinze a affirmé être le maillon essentiel ayant facilité la participation de l’artiste au spectacle. Il a déclaré : “Merci monsieur le président de la république, si vous ne m’auriez pas fait confiance pour le spectacle de Makokou. Ce grand artiste ne serait pas révélé aux yeux du monde”.

Cependant, des voix discordantes se sont élevées, soulignant que cette revendication relève davantage de la récupération. Des réponses provenant d’anciens admirateurs de l’artiste ont rappelé son parcours, notamment sa découverte lors d’un télé-crochet, Qui Sera la Révélation de l’Année, sur la Radio Télévision Gabonaise (RTG) en 1982, et son dévouement à l’enseignement depuis lors. Ces voix contestent donc le rôle prépondérant de Bung Pinze dans la mise en avant de Pépé Nzé.

Malgré les désaccords persistants, une lueur d’espoir émerge à travers les paroles de reconnaissance envers RODA, un acteur clé dans cette mise en lumière artistique, ainsi que vers tout le personnel du Gabon change, soulignant l’importance du travail d’équipe dans la promotion des talents nationaux.

Le conflit de reconnaissance autour du succès de la prestation d’André Pépé Nzé met en lumière les enjeux de visibilité et de mérite dans le monde artistique gabonais. Alors que Bung Pinze revendique le mérite d’avoir permis à l’artiste de briller sur scène, d’autres voix contestent cette affirmation, rappelant le parcours et le dévouement de Pépé Nzé à travers les décennies. Malgré les désaccords, l’importance du travail d’équipe dans la promotion des talents locaux reste indéniable, offrant ainsi un espoir de résolution à ce conflit de reconnaissance.

Mihi…

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La CPPF annonce un plan stratégique triennale 2024-2026 pour améliorer les pensions et les services aux clients

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Dans un geste solennel marquant un engagement résolu envers l’amélioration des services publics, Jean-Blaise Nguema Mba, Président du Conseil d’Administration de la Caisse des Pensions et des Prestations Familiales des agents de l’État (CPPF), a dévoilé le nouveau plan stratégique triennal de l’institution, au sortir du conseil d’administration tenu à Libreville le vendredi 29 mars 2024 à la résidence hôtelière Le Nomad.

L’annonce intervient suite à l’engagement personnel du Président de la Transition, Président de la Republique, Chef de l’Etat, Le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguéma, qui a mis à disposition de la CPPF au mois de fevrier 2024, une enveloppe globale de 35.9 milliards de Francs CFA. Cette allocation a permis de payer les rappels de pensions ainsi que la première échéance mensuelle des pensions arrimées et revalorisées, conformément aux directives présidentielles énoncées en septembre 2023 et réaffirmées en décembre de la même année.


Les résultats de cette initiative sont déjà tangibles, avec un montant global de 28 milliards de Francs CFA dédiés aux rappels, touchant plus de 25 000 dossiers et une augmentation significative de la charge mensuelle des pensions pour février 2024, qui passe de 6,5 à 7,9 milliards de Francs CFA. Cette augmentation de 1,4 milliard représentant 23% par rapport au mois précédent témoigne de l’engagement de la CPPF à répondre aux besoins croissants de ses usagers.

Outre ces réalisations, le plan stratégique triennal prévoit l’ouverture de nouvelles délégations CPPF à Franceville et Mouila, ainsi que la modernisation du système d’information de l’institution. Ces initiatives visent à rapprocher les services de la CPPF des usagers et à améliorer leur accessibilité, tout en garantissant une gestion efficace des données et des prestations.

En outre, Jean-Blaise Nguema Mba a annoncé la désignation de deux nouveaux vice-présidents lors de cette session du conseil d’administration, renforçant ainsi la gouvernance de l’institution et sa capacité à mener à bien ses projets stratégiques.

Avec ce plan stratégique triennal, la CPPF affirme son engagement à garantir la pérennité du système de pensions des agents de l’État et à offrir des services de qualité supérieure à ses clients. Sous la direction de son président et avec le soutien des autorités de la Transition, la CPPF se positionne comme un acteur clé dans la protection sociale et le bien-être des agents publics gabonais.

Mihi…

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La Ménopause : Comprendre, Accepter et Agir Ensemble

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Dans le cadre de la célébration du mois de la femme, l’émission de santé publique YÊMÏ sur Akum Radio a consacré une émission spéciale à un sujet souvent méconnu mais crucial pour la santé des femmes : la ménopause. Avant d’aborder la ménopause, le précédent numéro de YÊMÏ avait mis en lumière l’endométriose et présenté l’association Endofi Gabon qui œuvre pour la sensibilisation sur la maladie, offrant ainsi une couverture exhaustive des enjeux de santé féminine. Animé par LOPS, le débat a vu l’intervention du Dr. Marcia ANGUE Épouse Pemengoye, médecin conseil de l’émission, pour discuter des réalités de la ménopause et des moyens de la gérer.

“La ménopause est un processus naturel marquant la fin de la période de fertilité chez les femmes”, explique le Dr. Marcia ANGUE, définissant ainsi ce phénomène biologique.

Comme dit par le Dr. Marcia ANGUE, “La ménopause survient généralement entre 45 et 60 ans, bien que des cas plus précoces ou plus tardifs soient possibles.” Ce processus s’accompagne de symptômes physiques tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, ainsi que des fluctuations émotionnelles comme les sautes d’humeur et la tristesse.

“L’âge et les antécédents familiaux peuvent influencer le moment où survient la ménopause, mais il est essentiel pour les femmes de consulter des gynécologues pour gérer ces changements hormonaux”, souligne le Dr. Marcia ANGUE.

Il est crucial de noter qu’il n’existe pas de traitement spécifique pour la ménopause, mais des solutions peuvent être recommandées pour atténuer les symptômes.

Un aspect crucial abordé lors du débat est le rôle des partenaires masculins pendant cette période de transition. “Les hommes sont encouragés à soutenir leurs partenaires en dialoguant et en cherchant à comprendre les défis auxquels elles font face”, souligne LOPS.

En plus des symptômes physiques, la ménopause comporte des risques pour la santé, notamment des problèmes cardiovasculaires et l’ostéoporose. Les femmes sont encouragées à adopter de nouvelles habitudes de vie, telles que l’exercice physique régulier, pour atténuer ces risques et améliorer leur bien-être général.

En conclusion, LOPS invite les femmes en ménopause à fréquenter des spécialistes durant cette période et à vivre en communauté pour pouvoir échanger et comprendre ce phénomène naturel. Le débat a également souligné l’importance du dialogue et du soutien communautaire pour aider les femmes à traverser cette période de transition. En partageant leurs expériences et en se soutenant mutuellement, les femmes peuvent mieux comprendre, accepter et agir face à la ménopause, faisant ainsi un pas de plus vers une meilleure santé et un bien-être durable.

Pour écouter YÊMÏ, rendez-vous sur Akum Radio, fréquence 98.3, ou visitez www.akumradio.fm les lundis, mercredis et vendredis à 11h00 et 15h00.

Mihi…

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