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Balla Diabaté, un autre Prince de la Kora

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Comme son aîné Sidiki DIABATÉ, Balla est un jeune artiste malien qui se distingue par sa capacité à intégrer l’instrument traditionnel appelé Kora, dans la musique moderne.

Balla DIABATÉ sur scène

Au Mali, comme dans d’autres pays du continent Africain, la musique traditionnelle se marie à la musique moderne dans son évolution. Cette tendance est portée par des jeunes artistes qui s’ouvrent au monde en promouvant la culture Africaine. C’est le cas avec la célèbre famille DIABATÉ, dont la nouvelle génération fait résonner la Kora dans un univers différent de celui des précurseurs.

Pendant que Sidiki DIABATÉ fait voyager la Kora très loin, depuis près de dix ans, un autre artiste du même sang affûtait ses armes en arrière-plan. Il s’agit de Balla DIABATÉ. Comme son frère, son père ( Toumani DIABATÉ ) et ses aïeux, l’artiste est un talentueux  instrumentiste de la Kora. Défini comme étant  l’un des meilleurs, Balla DIABATÉ est sollicité par des légendes de la musique Africaine, à l’instar de Youssou N’Dour. Porté par la reconnaissance de ses pairs et l’enthousiasme du public, l’instrumentiste se dévoile un peu plus et envisage suivre les pas de son frère : allier sa voix au son de la Kora.

Mihi…

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Libreville : Une nouvelle médiathèque pour dynamiser la culture et l’éducation

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La Mairie de Libreville a annoncé une avancée majeure dans le domaine culturel et éducatif de la capitale gabonaise. Lors de sa 102e réunion à Paris, l’Association internationale des maires francophones (AIMF) a attribué une subvention de 155 000 euros à la commune, destinée à transformer la bibliothèque municipale du quartier Glass en une médiathèque moderne et inclusive.

Ce projet ambitieux a pour objectifs de rendre la culture et l’éducation plus accessibles aux habitants de Libreville, en proposant des services variés tant pour les jeunes que pour les adultes. La nouvelle médiathèque sera également dotée de technologies numériques de pointe, reflétant l’engagement de la commune en faveur de l’innovation.

Un centre culturel en devenir

Cette initiative s’inscrit dans une volonté de positionner Libreville comme un pôle culturel au sein de l’espace francophone. La mairie souligne que ce projet permettra de renforcer les infrastructures existantes et d’offrir un cadre propice à l’épanouissement personnel et collectif des citoyens.

Cependant, un point d’ombre a été soulevé : le délai de communication concernant la subvention. En effet, l’information a été diffusée avec plus de deux semaines de retard, ce qui a suscité des interrogations sur la transparence de la gestion municipale. Les responsables de l’Hôtel de Ville ont promis de faire des efforts pour améliorer la communication autour de projets futurs.

Un futur prometteur

Malgré ces préoccupations, la création de cette médiathèque est perçue comme un tournant pour Libreville. Les élus et les acteurs culturels espèrent qu’elle répondra aux attentes des habitants, en particulier des jeunes, en leur offrant un espace d’apprentissage et de découverte.

Les Librevillois peuvent donc envisager avec optimisme l’ouverture de cette nouvelle médiathèque, symbole d’un engagement fort envers la culture et l’éducation dans la capitale gabonaise.

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Séminaire sur les Défis de la Presse à l’Ère de la Transition : Le Journalisme Numérique, un Avenir à Enseigner

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Du 16 au 18 octobre 2024, la ville de Mouila a accueilli un séminaire clé sur “La Consolidation de la Liberté de la Presse dans le Contexte de la Transition Gabonaise”. Organisé par la Haute Autorité de la Communication (HAC) avec le soutien de l’UNOCA, de l’UNESCO et du CNUDHD, cet événement visait à renforcer les compétences des journalistes face aux défis contemporains, particulièrement ceux liés au numérique.

Ce séminaire a offert aux jeunes journalistes l’opportunité d’échanger avec des experts de renom, notamment des membres de la HAC. L’intervention de Boursier Tchibinda, une figure montante du journalisme gabonais, a marqué les esprits. Tchibinda a souligné les défis majeurs du journalisme à l’ère numérique, insistant sur la nécessité d’adapter les pratiques aux nouvelles réalités médiatiques.

Il a mis en lumière la transformation des médias traditionnels, précisant que la télévision est devenue YouTube, la presse papier a évolué vers des plateformes en ligne, la radio s’est transformée en podcasts, et les magazines ont pris la forme de webzines ou de blogs. Cette métamorphose impose aux journalistes de repenser leur approche et leur formation pour répondre aux attentes d’un public de plus en plus connecté. Tchibinda a affirmé qu’une formation continue est indispensable pour naviguer efficacement dans ce paysage en constante évolution. “La rapidité d’accès à l’information a profondément modifié notre manière de travailler,” a-t-il déclaré, appelant à l’adoption de pratiques éthiques et rigoureuses.

Cependant, malgré la richesse des échanges, la question du journalisme numérique n’a pas été suffisamment approfondie. Les participants ont exprimé le besoin d’un futur séminaire spécifiquement consacré à cette thématique, comme l’a souligné Tchibinda dans ses recommandations. Un tel événement serait essentiel pour fournir aux journalistes gabonais les outils nécessaires à l’ère numérique.

Le séminaire de Mouila a posé des bases importantes pour l’avenir du journalisme au Gabon. Il est crucial que les journalistes, notamment les jeunes, développent des compétences adaptées aux nouvelles réalités médiatiques. Un séminaire futur axé sur le journalisme numérique pourrait jouer un rôle déterminant dans la préparation des professionnels face aux défis contemporains du secteur.

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Mario d’Africadream : La Tcham sur le toit du Gabon avec le concert live de L’Oiseau Rare

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Au Gabon, la scène musicale urbaine se dynamise grâce à Mario d’Africadream, un label innovant qui œuvre pour la promotion des artistes locaux. Dans un contexte où les ressources financières manquent souvent pour soutenir les talents, ce label offre une plateforme précieuse pour permettre aux musiciens gabonais de se produire et de se faire connaître.

Depuis peu, Mario d’Africadream a su se faire un nom en organisant des événements mémorables. Après les concerts réussis de Sly’A et d’André Pépé Nzé, le label se prépare à accueillir L’Oiseau Rare, un artiste emblématique de la nouvelle scène urbaine gabonaise. Avec ses derniers titres accrocheurs tels que “Yo” et “Niamatos”, L’Oiseau Rare a su captiver un large public en exécutant le genre musical urbain Tcham, que le public gabonais affectionne tout particulièrement.

Le concert, prévu le 21 décembre au Palais des Sports de Libreville, s’annonce comme un moment fort de l’année. Les fans de L’Oiseau Rare peuvent s’attendre à une performance électrisante, où l’artiste promet d’emmener le public dans une ambiance festive et immersive. Ce spectacle sera également une occasion pour les amateurs de découvrir l’énergie et le talent d’un artiste qui incarne l’évolution de la musique urbaine au Gabon.

En mettant l’accent sur la production scénique, Mario d’Africadream ne se limite pas à la simple diffusion musicale. Le label crée un environnement où les artistes peuvent s’exprimer librement, tout en établissant des liens avec leur public. Cela permet de renforcer la culture musicale locale et de donner une visibilité accrue aux talents émergents.

Ce concert de L’Oiseau Rare s’inscrit dans une série d’initiatives de Mario d’Africadream visant à revitaliser la scène culturelle gabonaise. En soutenant les artistes locaux, le label participe à l’émergence d’un mouvement musical fort, porteur d’espoir et de créativité.

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