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Ba’ponga : << Expérimenter constamment me renouvelle... >>

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Invité ce jour, à la matinale de médias 241, Ba’ponga est revenu sur les grandes lignes de sa carrière, en répondant aux questions de l’animatrice vedette du programme, Pryscah Maryelle, ainsi qu’à celles des chroniqueurs. L’une des questions qui a fait l’objet d’une réponse édifiante de la part de Ba’ponga, portait sur la longévité de sa carrière. Car, il faut rappeler que Franck Stéphane Dibault dit Ba’ponga est actif depuis une vingtaine d’années.

Parler de Ba’ponga revient à faire la genèse du rap Gabonais. Puisque, le rappeur a eu à traverser deux des trois décennies de son histoire. Comment expliquer cette longévité ? Telle était la question qui est revenue plus d’une fois, sur le plateau de la matinale médias 241. Pour répondre à cette question, Ba’ponga s’est expliqué en s’appuyant sur un mot : expérience.

En résumé, il dit être d’actualité parce qu’il tente des expériences. Des expériences, qui font qu’il ne porte pas toujours la casquette de rappeur. Car, Ba’ponga préfère se définir comme étant un artiste, parce qu’il se plaît dans le rap aussi bien que dans la chanson. Un choix que ses collègues ne comprenaient pas à une certaine époque. À propos, les critiques les plus acerbes lui ont été adressées : rappeur- zouglou, chanteur, zoukeur et j’en passe. Des mots qui font dire qu’il n’était pas un puriste. Les détracteurs, ignoraient certainement que le fils de Mindoubé souhaitait s’établir sur la durée.

Pour justement s’inscrire dans la durée et traverser les âges, Ba’ponga, a décidé de ne pas vieillir. Il s’explique en ces termes : << Ceux qui vieillissent dans le temps reste sur une musique. >>. À bientôt presque 45 ans, l’artiste est encore à la une et prévoit sortir un nouvel album.

https://www.facebook.com/medias241/videos/254179869682473/?app=fbl

Mihi…

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Yemi Alade : Égale de Burna Boy, Davido, et Wizkid ?

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Dans un récent entretien, Yemi Alade, icône de la musique nigériane au succès international, a réaffirmé l’importance de reconnaître que tous les talents se valent dans l’industrie musicale africaine. Elle a souligné que la réussite des artistes ne devrait pas être mesurée par des classements numériques, mais par leur impact et leur talent. Avec une carrière de plus d’une décennie, elle a fermement déclaré : “Il n’y a pas de numéro 1 et c’est un fait.”

Alade a mis en lumière une réalité souvent négligée : chaque artiste, quels que soient son genre ou son origine, contribue de manière significative à la richesse et à la diversité de la musique africaine. Elle a affirmé que son succès et sa longévité sont comparables à ceux de ses homologues masculins, soulignant ainsi que tous les artistes méritent d’être reconnus pour leur contribution unique à la scène musicale africaine.

En déclarant qu’il n’y a pas de numéro un dans l’industrie musicale, Yemi Alade défend l’idée que le succès ne devrait pas être mesuré de manière exclusive. Elle appelle à reconnaître que chaque artiste apporte sa propre touche et son propre talent à l’épanouissement de la musique africaine. Alors que l’industrie continue d’évoluer, les paroles percutantes d’Alade servent de rappel crucial que chaque talent compte et mérite d’être célébré.

Mihi…

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Michaël Anicet : L’héritier gabonais de Michaël Jackson

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Jean Anicet Ngadi, plus connu sous le nom de “Michaël Anicet”, est une figure emblématique de la scène artistique gabonaise. Depuis les années 90, cet artiste talentueux perpétue l’œuvre de son idole, le légendaire Michaël Jackson, à travers la danse.

L’histoire d’amour de Michaël Anicet avec la musique de Michaël Jackson remonte aux années 80. Comme beaucoup de jeunes de cette époque, il a été profondément marqué par le talent et le génie créatif du “Roi de la Pop”. L’arrivée de Michaël Jackson au Gabon en 1992 a été un moment décisif pour Ngadi. Présent parmi la foule en liesse venue accueillir la star à l’aéroport international Léon MBA de Libreville, cette rencontre a renforcé sa passion pour la danse et l’a inspiré à créer son propre groupe de danse en 1992.

Malgré les fluctuations de la popularité et les évolutions de la scène artistique, Michaël Anicet a su maintenir son engagement envers la danse et l’héritage de Michaël Jackson. Après une période plus discrète dans les années 2000, sa visibilité a resurgi avec force à la fin de cette décennie, notamment après le décès de son idole en 2009. Devenu plus qu’un simple imitateur, Michaël Anicet est devenu un véritable héritier de la star américaine.

En 2011, il a été honoré à Dubaï en remportant le prix du “Best Michaël Jackson d’Afrique Noire”, témoignant ainsi de sa reconnaissance au-delà des frontières du Gabon. Son influence se ressent également dans les rues de Libreville, où de nombreux jeunes s’inspirent de son style et de sa passion pour la danse.

Pour célébrer son parcours exceptionnel, un livre intitulé “Michaël Anicet virtuose de la danse” a été récemment publié par l’écrivain gabonais Armel Oyama. Cet ouvrage retrace la carrière remarquable de Ngadi en tant que chorégraphe et son dévouement à maintenir l’héritage de Jackson vivant au Gabon.

Chaque année, Michaël Anicet organise un spectacle dédié à Michaël Jackson, fusionnant avec talent la danse traditionnelle gabonaise et les pas emblématiques du “Roi de la Pop”. Cette combinaison unique offre une expérience artistique riche qui séduit un public varié, illustrant la créativité et l’innovation de Michaël Anicet dans son art.

Il a transcendé la limitation en créant sa propre identité artistique, tout en gardant Michaël Jackson comme fondement de son travail. Aujourd’hui, il excelle dans la danse traditionnelle gabonaise tout en explorant les danses urbaines, fusionnant ainsi les influences locales et internationales dans son expression artistique.

En conclusion, Michaël Anicet est bien plus qu’un simple imitateur de Michaël Jackson. Il est un artiste talentueux qui a su créer une fusion harmonieuse entre les cultures, tout en rendant un vibrant hommage à son idole. Sa contribution à la culture gabonaise et son influence sur la scène artistique locale sont incontestables et continuent d’inspirer de nombreux jeunes artistes.

Mihi…

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Ouverture du Dialogue National Inclusif : La bataille pour la reconnaissance du succès d’André Pépé Nzé

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Le Dialogue National Inclusif au Gabon, marqué par des interventions artistiques poignantes, a mis en lumière le talent de l’artiste gabonais André Pépé Nzé. Cependant, cette éclatante prestation a été rapidement entachée par un conflit de reconnaissance, alors que Bung Pinze de son vrai nom Juste Parfait Moubamba, conseiller du Ministre de la Culture, revendique le mérite d’avoir permis à l’artiste de monter sur scène.

Juste après la remarquable interprétation de Pépé Nzé sur le titre “NZÂL (le village)”, qui a ému tant le Président de la Transition que le public présent et les internautes, des personnes ont pris la parole pour rappeler aux jeunes qui était André Pépé Nzé et même expliqué la teneur de sa chanson après sa prestation sur la toile. Bung Pinze a affirmé être le maillon essentiel ayant facilité la participation de l’artiste au spectacle. Il a déclaré : “Merci monsieur le président de la république, si vous ne m’auriez pas fait confiance pour le spectacle de Makokou. Ce grand artiste ne serait pas révélé aux yeux du monde”.

Cependant, des voix discordantes se sont élevées, soulignant que cette revendication relève davantage de la récupération. Des réponses provenant d’anciens admirateurs de l’artiste ont rappelé son parcours, notamment sa découverte lors d’un télé-crochet, Qui Sera la Révélation de l’Année, sur la Radio Télévision Gabonaise (RTG) en 1982, et son dévouement à l’enseignement depuis lors. Ces voix contestent donc le rôle prépondérant de Bung Pinze dans la mise en avant de Pépé Nzé.

Malgré les désaccords persistants, une lueur d’espoir émerge à travers les paroles de reconnaissance envers RODA, un acteur clé dans cette mise en lumière artistique, ainsi que vers tout le personnel du Gabon change, soulignant l’importance du travail d’équipe dans la promotion des talents nationaux.

Le conflit de reconnaissance autour du succès de la prestation d’André Pépé Nzé met en lumière les enjeux de visibilité et de mérite dans le monde artistique gabonais. Alors que Bung Pinze revendique le mérite d’avoir permis à l’artiste de briller sur scène, d’autres voix contestent cette affirmation, rappelant le parcours et le dévouement de Pépé Nzé à travers les décennies. Malgré les désaccords, l’importance du travail d’équipe dans la promotion des talents locaux reste indéniable, offrant ainsi un espoir de résolution à ce conflit de reconnaissance.

Mihi…

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