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PRAEFATIO TOUR AFRICA : Céline Banza a clôturé sa tournée au FEMUA
Au bout d’un an de spectacles, Céline Banza a clôturé sa tournée le samedi 11 septembre à Abidjan ( Côte d’Ivoire ) lors du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo ( FEMUA ). Une tournée qui s’identifie à son premier album via sa dénomination, PRAEFATIO.
Lauréate du prix découverte RFI en 2019, Céline Banza a eu l’opportunité de se promouvoir un peu partout en afrique à travers une tournée africaine durant une année, comme les vainqueurs des années antérieures. C’est en mars 2020 que la jeune ( 24 ans ) chanteuse congolaise a débuté sa tournée, en bénéficiant de l’aide du label qui l’a enrôlé après son sacre, BOMAYE MUSIK.
Confrontée à la réalité de la crise sanitaire de la Covid-19, Céline Banza va s’adapter à la réalité de l’heure en programmant les dates de concerts avec l’aval des autorités des différents pays quand cela était possible. Au bout d’une année et plusieurs mois, Céline Banza a bouclé son tour d’Afrique au Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo à Abidjan ( Côte d’Ivoire ). Après ce parcours du combattant, l’artiste a tenu à remercier son public, son label et ses partenaires par une publication sur ses réseaux-sociaux.
Nous publions ci-dessous l’intégralité de cette publication.
<< Abidjan était la dernière date du PRAEFATIO TOUR AFRICA débuté en mars 2020, interrompue pendants des mois à cause de la covid avant la reprise en ce début d’année et qui s’achevait hier samedi 11 septembre 2021 lors du FEMUA ( Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo )
En deux ans, j’ai eu la chance d’interpréter les titres de mon premier album mais aussi des inédits qui sortiront peut être dans les prochains jours.
J’ai vécu des grands moments d’émotion et de complicité avec les musiciens qui m’accompagnent que je remercie pour tous les sacrifices, les équipes de BOMAYE MUSIK Yuma Productions Prix Découvertes – RFI & des Instituts Français qui ont fait du mieux qu’ils pouvaient pour que la tournée se réalise malgré les conditions difficiles de mobilité liées à la Covid-19.
Un énorme MERCI à vous ( Mon Public) pour votre soutien et vos ondes positives au quotidien ! Cette aventure ne serait pas la même sans vous ! Je vous aime les amis.
Ai-je le droit d’être si heureuse ce soir ?
Je vous souhaite l’amour.
Je vous embrasse.
PS : PRAEFATIO n’etait que le début >>
Mihi…
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National Foot 1 : Bouenguidi leader après deux journées, une avance à consolider
La deuxième journée du National Foot 1 a confirmé Bouenguidi Sports comme l’équipe à battre cette saison. Avec deux victoires consécutives, dont un succès 1-0 face à son rival Lozo Sport, le club de Koulamoutou s’empare provisoirement de la tête du championnat. Mais cette place de leader est déjà convoitée par plusieurs challengers prêts à bousculer l’ordre établi.
Une domination sous pression
Bouenguidi Sports a montré sa capacité à s’imposer dans des rencontres disputées, comme lors de ce derby intense à Lastourville. Solide défensivement, l’équipe devra cependant maintenir ce niveau face à des adversaires de plus en plus déterminés à lui ravir la première place.
Mangasport et Lambaréné AC à l’affût
Parmi les prétendants sérieux, Mangasport, deuxième avec quatre points, a impressionné par sa victoire écrasante 3-0 contre l’AS Dikaki. Portés par des joueurs comme Samson Mbingui, les Minéraliers envoient un message clair à leurs concurrents. De même, Lambaréné AC, avec un 3-0 convaincant face au CS Bendje, se positionne comme une équipe capable de rivaliser avec les meilleurs.
Une bataille ouverte pour le trône
Alors que Bouenguidi Sports s’apprête à affronter CF Mounana lors de la prochaine journée, la pression monte. Chaque faux pas pourrait redistribuer les cartes, d’autant plus que des clubs comme AS Stade Mandji et CF Mounana montrent également des signes de montée en puissance.
Le championnat s’annonce palpitant, avec un Bouenguidi Sports en quête de constance pour défendre sa position de leader face à une concurrence acharnée. Une chose est sûre : cette saison, la bataille pour le titre sera aussi intense que passionnante.
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Dr Marcia Angue Pemengoye : à la croisée des mythes et des réalités sur les violences basées sur le genre
Le 28 novembre 2024, le Centre d’Accueil des Victimes de Violences Basées sur le Genre a accueilli le lancement officiel des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre. Cette journée, dédiée à la sensibilisation et à l’action, a rassemblé des acteurs clés engagés dans la lutte pour l’égalité et la protection des droits humains. Parmi les interventions marquantes, celle du Dr Marcia Angue Pemengoye, chirurgienne et experte judiciaire, a retenu l’attention. À travers un exposé percutant et des échanges interactifs, elle a mis en lumière les mythes profondément enracinés dans la société gabonaise, qui freinent la lutte contre les violences, tout en proposant des pistes concrètes pour les déconstruire.
Déconstruire pour mieux agir
Sous le thème « Déconstruire les mythes et idées reçues sur les VBG », Dr Marcia a exposé des stéréotypes profondément ancrés dans la société gabonaise et leurs conséquences désastreuses. Ces croyances, selon elle, freinent la prévention, banalisent les violences, et isolent les victimes.
Une analyse au cœur des réalités locales
En s’appuyant sur des exemples réels, Dr Marcia a démontré que ces mythes traversent toutes les couches sociales :
Violences conjugales : Elle a relaté l’histoire d’une femme hospitalisée pour des fractures, qui, par crainte de représailles, a d’abord attribué ses blessures à une chute.
“Le mythe selon lequel la violence conjugale est une affaire privée empêche souvent les victimes de demander de l’aide, ce qui aggrave leur souffrance.”
Stigmatisation des victimes : Une adolescente, victime de violences sexuelles, a été blâmée pour avoir porté une jupe jugée “provocante”.
“Ce mythe culpabilise injustement les victimes et disculpe les agresseurs. Aucun choix vestimentaire ne justifie un acte de violence.”
En passant en revue les types de violences (physique, sexuelle, psychologique, économique), elle a rappelé que les lois gabonaises, notamment la loi N° 006/2021, reconnaissent ces actes comme des crimes graves.
Un dialogue engagé avec l’auditoire
L’intervention de Dr Marcia a également été marquée par des échanges interactifs avec les participants. Une femme dans l’audience a exprimé son impuissance face à une amie victime refusant de porter plainte.
En réponse, Dr Marcia a souligné l’importance du soutien communautaire :
“Chaque geste compte. Soutenir moralement une victime, lui fournir des informations sur ses droits, c’est déjà un pas vers sa reconstruction.”
Elle a également encouragé l’auditoire à devenir des relais dans leurs propres communautés pour briser le silence autour des violences.
Les pistes d’action
Dr Marcia a proposé des solutions pratiques pour déconstruire les mythes et renforcer la lutte contre les VBG :
- Renforcer l’éducation et la sensibilisation : Organiser des campagnes à grande échelle et intégrer l’éducation sur les VBG dans les programmes scolaires.
- Renforcer le cadre juridique : Faciliter l’accès à la justice pour les victimes et garantir l’application des lois existantes.
- Mobiliser les communautés : Former des leaders locaux capables de sensibiliser et de répondre aux besoins des victimes.
Une conclusion mobilisatrice
En clôturant son intervention, Dr Marcia a appelé à un changement collectif et durable :
“Déconstruire les mythes, c’est poser les bases d’un Gabon où les violences basées sur le genre ne sont plus tolérées. Ensemble, nous pouvons bâtir une société juste et sécurisée pour tous.”
Un écho national
La présentation du Dr Marcia Angue Pemengoye résonne comme un appel à l’action immédiate. En s’attaquant aux idées reçues et en illustrant ses propos par des cas concrets, elle a démontré que la lutte contre les VBG nécessite une implication collective, de l’État aux citoyens.
Cette intervention, riche en enseignements et en émotions, a renforcé l’engagement des participants à œuvrer pour un Gabon sans violences, où chaque individu, quel que soit son genre, peut vivre en dignité et en sécurité.
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HM TECHNOLOGY : Une révolution numérique pour l’éducation gabonaise avec HM Classroom
Fondée par Ralph Ntsandzou Nguélé, ingénieur en Génie Logiciel, HM TECHNOLOGY s’impose comme un acteur clé de l’innovation numérique au Gabon. Depuis sa création en 2014 et son lancement officiel en 2018, l’entreprise s’illustre par des solutions technologiques visant à répondre aux défis de l’éducation et de la santé. Avec son dernier projet, HM Classroom, présenté lors d’une conférence de presse ce samedi 30 novembre 2024, HM TECHNOLOGY franchit une nouvelle étape en plaçant l’éducation numérique au cœur de ses priorités.
Une entreprise au service de la société :
Née de la volonté de promouvoir l’auto-emploi et l’entrepreneuriat, HM TECHNOLOGY a conçu des outils qui répondent aux besoins de la population gabonaise. Parmi ses réalisations :
HM PROGRES PRIME, un logiciel de gestion scolaire permettant un suivi en temps réel des activités pédagogiques et financières des établissements scolaires.
Hélène, une application facilitant l’accès aux médicaments et à l’information médicale pour les patients et les professionnels de santé.
Sous la direction de Ralph Ntsandzou Nguélé, l’entreprise innove en développant des solutions à fort impact social, alliant praticité et accessibilité.
HM Classroom : l’avenir de l’éducation numérique :
Dernière-née de HM TECHNOLOGY, HM Classroom est une plateforme numérique destinée à transformer l’apprentissage au Gabon. Accessible sur Play Store et App Store, elle propose :
Des cours vidéo préparés par des enseignants qualifiés.
Des exercices interactifs et des QCM pour évaluer et renforcer les acquis des élèves.
Une couverture des programmes pour les niveaux CM1, CM2, 4e, 3e et Terminale, avec un déploiement progressif pour les autres classes.
En plus de pallier le manque d’enseignants, HM Classroom offre une alternative moderne pour les élèves en zones rurales, les personnes à mobilité réduite, et les familles cherchant à compléter les cours traditionnels.
« HM Classroom a été conçue pour offrir aux élèves gabonais une éducation accessible, flexible et adaptée à leurs besoins, où qu’ils se trouvent. Notre ambition est de combler les lacunes structurelles tout en apportant des solutions innovantes au système éducatif », a affirmé Ralph Ntsandzou Nguélé.
Un accès simple et abordable :
Pour seulement 13,000 FCFA par an, les élèves peuvent bénéficier d’un accès illimité à la plateforme, avec un paiement facilité via Airtel Money. L’inscription est gratuite, et d’autres modes de paiement seront introduits prochainement.
Une équipe pluridisciplinaire
HM Classroom est le fruit d’un travail collectif mené par une équipe expérimentée :
Ralph Ntsandzou Nguélé, PDG et concepteur des solutions numériques.
Styve Janvion, responsable des contenus pédagogiques.
Renaud Leng, Directeur Administratif et Financier.
Cathya Tsoubou, enseignante spécialisée en physique-chimie pour le niveau collège.
Vers un avenir numérique inclusif :
En combinant innovation technologique et vision sociale, HM TECHNOLOGY ambitionne de transformer durablement l’éducation au Gabon. HM Classroom s’inscrit dans cette démarche, en proposant une solution adaptée aux réalités du pays et aux attentes des élèves.
Avec HM TECHNOLOGY, Ralph Ntsandzou Nguélé prouve que l’entrepreneuriat numérique peut être un levier de développement pour une société plus juste et équitable.