Connect with us

ITW

Macy Ilema, un retour et des perspectives.

Donald

Publié il y a

le

par

Après avoir dévoilé son nouvel album, Cette voie (x), Macy Ilema se donne les moyens de le promouvoir. Un tant présente sur les médias pour présenter son disque, le fleuron de Wimbil Studio entre en contact avec ses mélomanes, par le biais de la scène. Ceci, dans le but de mesurer la popularité des pistes qui composent son nouvel album. Après une entrée en matière réussie, sur les planches du Casino Croisette, le 17 juin dernier, Macy Ilema a désormais le regard rivé vers ONOMO Hôtel, pour un spectacle prévu à la date du samedi 06 Août 2022 à 20heures. Interviewée par notre rédaction, au sujet de sa bouillante actualité, Macy Ilema a bien voulu se prêter au jeu.

AkumRadio (AKR) : Comment Macy Ilema a vécu son retour sur le marché du disque ?

Macy Ilema (M.I) : Très bon retour avec la sortie de l’album cette voie(x) depuis le 26 mars 2022 au cours du point de presse donné pour l’occasion au Musée National des Arts et Tradition. Nous y avons lancé le départ pour à nouveau retrouver ce lien fort qui m’unit au public. En effet la période de la pandémie nous a pris de nos activités et j’avoue que cela m’a énormément manqué.

Nous pouvons donc nous réjouir aujourd’hui de la reprise d’activité dans le domaine de l’événementiel.

AKR : Pensez-vous que votre musique correspond aux besoins du marché ?

M.I : La musique est plurielle et chaque artiste dans sa pluralité répond a un besoin bien spécifique du marché. Avec ce nouvel album qui s’intitule Cette Voie(x) je viens avec des styles variés notamment :rumba, un peu d’Afro beat, du tradi moderne etc… je suis sûre qu’il ne souffrira d’aucun rejet auprès des mélomanes.

Je pense que toute les chansons de cet opus sont simplement magnifiques, c’est un délice que je vous invite à découvrir

AKR : Avez-vous trouvé le moyen de vous adapter aux nouveaux outils de communications pour promouvoir le nouveau disque ?

M.I : Assurément oui. De nos jours c’est un passage obligé pour nous arrimer aux exigences d’un monde musical en perpétuel évolution.

Nos albums sont sur les différentes plateformes de téléchargements légales, nous avons un site internet et nous communiquons régulièrement sur nos différents réseaux sociaux :Facebook, Instagram, tiktok et même Watsap.

AKR : Restons dans la promotion, comment se déroule t’elle ?

M.I : La promotion est un processus délicat et donc nous allons étape par étape; nous avons fait un media planning qui nous a conduit notamment à une tournée médiatique que nous allons poursuivre d’ailleurs et là actuellement nous sommes sur le volet Live tour pour faire découvrir en live l’album Cette Voie(x). Par ailleurs l’album et les clés usb restent disponibles à la vente

AKR : Qu’allez-vous proposer de différents au public qui fera le déplacement pour ONOMO Hôtel ?

M.I : Chacun de nos spectacles est différents et nous vous invitons déjà à venir voir cette différence lors des concerts.

Nous allons découvrir un peu plus l’album Cette voie(x) avec quelques exclusivités; il y aura beaucoup d’interactivité avec le public et également des invités surprise sur scène

AKR : En dehors de la voix, va-t-on découvrir les talents de danseuse de la “Princesse” de Baposso ?

M.I : Bien sûr nous allons véritablement prendre possession de la scène avec des danseurs et la princesse de Baposso avec sa voix mélodieuse se chargera de mettre une belle touche vocale pour rythmer chacun de ses pas de danse

AKR : Ce spectacle une étape parmi d’autres, sur une période d’un an où Macy Ilema voit sa “Cette Voie(x)” arriver ?

M.I : Ce spectacle est une étape parmi d’autres spectacles que nous allons organiser autour de l’album,Cette Voie(x), sortie le 26 mars dernier.
Nous allons offrir un maximum de concert live dans le grand Libreville et ses environs et peut-être en province avec beaucoup de chance si Dieu le veut.

AKR : Allez-vous tenter une expérience à l’international ?

M.I : Bien sûr car en chacune de nos sorties c’est une opportunité de nous positionner vers l’international en terme de qualité, visibilité et crédibilité pour créer des contacts pertinents.

Nous allons une fois de plus tenter une expérience à l’international parce que nous ne cherchons pas à nous renfermer mais plutôt à viser le partage avec le monde entier et à chercher toujours le meilleur.

AKR : Que ce rêve ne nous éloigne pas de l’actualité, avant de nous laisser Macy Ilema a t’elle un dernier mot à dire au public par rapport à son spectacle du samedi 06 Août 2022, à ONOMO Hôtel ?

M.I : Dire merci à ce magnifique public qui nous accompagne chaque jour car grâce à vous nous nous battons pour élever le niveau de nos performances musicales et scéniques.

Je souhaite que vous soyez nombreux à Onomo le samedi 06 août 2022 pour partager ces meilleurs moments en live musicalement.

Propos recueillis par Mihi…

Advertisement
Commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

ITW

Espoir la Tigresse sur sa nomination aux Afrima AWARDS : “Je n’y croyais pas”.

Donald

Publié le

le

par

Espoir la Tigresse est nominée aux Afrima AWARDS 2022. La nouvelle est connue depuis quelques jours. Au coeur de l’actualité musicale gabonaise de ces derniers, via cette nomination, l’artiste qui revendique si bien son indépendance “n’y croyais pas”. En échangeant avec notre rédaction, l’auteure interprète de “Abiane” livre ses premières impressions.

AkumRadio (AKR): Quelles sont vos premières impressions après votre nomination aux Afrima AWARDS ?

Espoir la Tigresse (E.T) : Je n’y croyais pas au tout début. Après l’annonce de cette nouvelle par un proche, puis par la presse, j’ai fini par m’y résoudre.

AKR : Par qui la nouvelle est arrivée ?

E.T : Par mon manager au courant de la semaine. Quand il me l’a annoncé nuitamment, je lui ai dit de me laisser tranquille (rire). Comme je l’ai tantôt dit, je n’y croyais pas.

AKR : Pour beaucoup de personnes qui vous suivent, cette nomination est déjà une recommence. Êtes-vous du même avis ?

E.T : Tout à fait. Quand on est une artiste qui se bat toute seule comme moi on ne peut que le penser et aussi le dire.

AKR : Quelles sont vos ambitions réelles pour les Afrima AWARDS ?

E.T : Je crois en mon talent et au soutien de mes félins (fans). La compétition s’annonce difficile au vu des artistes qui sont en lice dans ma catégorie. Pour moi, l’essentiel est de représenter mon pays (Gabon) et faire des rencontres qui vont m’aider à aller de l’avant.

AKR : Parlant justement de vos concurrents, il y a Emma’a, une autre chanteuse Gabonaise. Un mot sur sa nomination ?

E.T : Emma’a est très talentueuse. Au vu de son succès, sa nomination est plus que méritée. Sur le coup, Emma’a n’est pas ma concurrente. Je dirai plutôt qu’elle est une autre panthère qui va porter le drapeau lors des AFRIMA AWARDS.

AkR : À quoi devons-nous maintenant nous attendre pour la suite de votre carrière ?

E.T : Après les AFRIMA, Espoir la Tigresse va poursuivre sa carrière d’artiste. Attendez-vous à me voir désormais sur la scène internationale.

Propos recueillis par Mihi…

Continue Reading

ITW

Leïla Fern à propos de son spectacle au Radisson Blu : “Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de monde”.

Donald

Publié le

le

par

Leïla Fern était en spectacle au Radisson Blu Okoumé Place le vendredi 26 Aôut 2022. Un événement que nous avons précédemment annoncé dans une de nos publications, sur nos réseaux-sociaux, notamment Facebook. Au terme de celui-ci, nous l’avons résumé dans une autre communication. Et ce, en annonçant un entretien avec la chanteuse qui devrait faire l’objet d’un article. En effet, ce mercredi 31 Août 2022, soit cinq (05) jours après son spectacle, Leïla Fern a bien voulu nous accorder l’entretien annoncé, afin de revenir sur son spectacle et bien évidemment parler de sa carrière.

AkumRadio (AKR) : Vos impressions après votre spectacle ?

Leïla Fern (LF) : Pour moi c’était un pur bonheur de partager ces moments avec le public. Rentrée au Gabon pendant la période sanitaire du Corona Virus, après de longues années passées au Sénégal, je n’avais pas encore eu l’opportunité de me produire sur scène. Ce spectacle, je l’ai vécu comme une renaissance, une réconciliation, le début d’une nouvelle aventure

AKR : Comment avez-vous trouvé le public ?

LF : Sincèrement, je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de monde. C’est vrai qu’une communication autour de l’évènement a été faite, mais le nombre de personnes présentes était au delà de mes espérances. Le public est venu un peu curieux : C’est qui elle ? On ne la connais pas, qu’est-ce qu’elle chante ?…Je crois que c’est la curiosité de découvrir le mystère qui se cachait derrière moi qui les a conduit jusqu’au Radisson Blu et je crois qu’ils ont fait une belle découverte. Je le dis à cause de cette échange, cette interaction et cette connexion qu’on a partagé.

AKR : Envisagez-vous déjà de remonter sur scène ?

LF : Bien sûr que j’envisage de remonter sur scène. Dites-moi, qui ne voudrait pas revivre des moments pareils ? Je crois que vous avez la réponse à ma question. (Rire).

AKR : De vos dires, le public semble avoir été conquis, pensez-vous que votre style musical peut capter un public différent de celui du Radisson Blu ?

LF : Oui, ma musique peut captiver tout type de public. Déjà, il faut dire que je sais adapter ma musique à l’environnement ou encore au type de public.

AKR : Leïla Fern s’inscrit dans quel style de musique ?

LF : J’aime beaucoup la guitare et les mélanges de sonorités et rythmiques africaines. Je dirais que je fais de l’Afro acoustic. C’est un genre qui me permet de visiter une culture africaine que je trouve musicalement riches. Ceux qui me suivent depuis mes grands débuts, en 2016, le savent très bien.

AKR : De 2016 à maintenant, comment votre carrière a évolué ?

Leïla Fern – Libérateur

LF : De 2016 à maintenant, j’ai du m’adapter à différents changements : changement de pays, de réalités, de repère, de collaborateurs, d’environnement… Tout ça n’a pas été simple, en 2018 j’ai sorti un maxi single dénommé “Nessi” à Dakar Sénégal. Puis ici à Libreville au Gabon en 2019, j’ai tourné le clip du titre qui figure dans ledit maxi single, “Libérateur”. En rentrant au Gabon, j’ai intégré la troupe vocale Eben voice avec laquelle j’ai eu plusieurs collaborations. Avec cette troupe, j’accompagne des artistes en studio et sur scène. C’est justement dans ce cadre que j’ai fait le Bantu Jazz de Londres avec Frédéric Gassita.

AKR : Êtes-vous satisfaite de ce que vous avez déjà eu à accomplir ?

LF : Pas totalement, mais nous rendons grâce à Dieu pour le parcours.

AKR : Des perspectives à court, moyen et long terme ?

LF : En ce qui concerne les perspectives, nous avons plusieurs dates de scène ici au Gabon que nous que vous communiquerons au moment opportun. Et, je suis également entrain de préparer la sortie d’un single d’ici quelques semaines. Il ya de belles choses qui arrivent.

AKR : 9 Un mot de fin à l’endroit de vos fans et d’auditeurs de Akûm Radio ?

LF : Alors, je tiens à remercier Akum Radio pour l’opportunité, remercier mon Manager Os’b et Revival Music. Une mention spéciale à toutes les personnes qui me suivent de près ou de loin. Restez connectés car de belle surprise arrive nous continuons à travailler pour donner le meilleur.

Propos recueillis par Mihi…

Continue Reading

ITW

Prince BOUSSOMBO : ” J’ai commencé très jeune… ”

Donald

Publié le

le

par

Né un 26 juin de l’an 1994, Prince BOUSSOMBO, n’a pas attendu de passer l’âge adulte pour tracer le chemin de sa destiné. Alors qu’il n’a que 10 ans, en 2004, l’adolescent qu’il était est follement tomber amoureux de la musique d’une des figures emblématiques de la scène urbaine gabonaise, Ba’ponga. Se définissant comme un fonceur, il avait entrepris toutes les démarches possibles avec l’assistance d’une proche pour rencontrer son idole. Entreprenant et très informé sur la carrière de Ba’ponga, Prince BOUSSOMBO finira par intégrer l’environnement du ” fauve ” de RAABOON et de ” l’ANIMAL ” de EBEN ENTERTAINMENT. Avec le temps, Prince va faire ses classes au sein du fan club de son idole d’hier et d’aujourd’hui. Pres de vingt ( 20 ) ans après leur première rencontre, Prince BOUSSOMBO se trouve manager général du label de Ba’ponga, NEGRATTITUDE, et cumulativement responsable de sa propre structure de production et de management, FUTURE8888. invité par notre rédaction à répondre aux questions inhérentes à sa carrière de manager, Prince BOUSSOMBO s’est ouvert comme un livre.

AKûm Radio ( AKR ) : Ta progression et ta constance dans le milieu du management est liée à ta rencontre avec Ba’ponga. Peux-tu revenir pour l’histoire en quelques mots sur cette rencontre ?

” Les Choses De Francky ” de Ba’ponga, un titre qui a développé le fanatisme de Prince Boussombo à l’époque pour Ba’ponga

Prince BOUSSOMBO ( P B ) : Ma rencontre avec Ba’ponga s’est faites alors que j’avais 10-11 ans. À l’époque, Ba’ponga que j’appelle affectueusement ” le boss” était tout au sommet : prix du meilleur rappeur gabonais ( 2003 ), leader incontesté de EBEN ENTERTAINMENT et artiste solo en plein développement. Vous comprenez qu’avec tout ça il n’était pas du tout facile de croiser l’homme dans les rues de Libreville. Pour accéder à lui, j’ai cherché par tout les moyens possibles à intégrer son fan club. Une fois à l’intérieur, j’ai captivé son attention par mon jeune et ma capacité à réagir sur des questions essentielles au plan de carrière défini par Ba’ponga.

AKR : Comment ton intégration s’est faites au fan club ?

P B : Elle a évolué tout doucement. Au tout début, mon âge était une limite au sein du fan club. Après plusieurs rencontres, j’ai été accepté par les autres. Étant le plus jeune, ma tâche de travail se limitait beaucoup plus au collage mural des affiches. Sérieux dans cet exercice, j’ai fini par intégrer le noyau dur du label et grimper en responsabilité avec le départ de certains membres.

AKR : Ta progression et ta constance dans le milieu du management est liée à ta rencontre avec Ba’ponga. Peux-tu revenir pour l’histoire en quelques mots sur cette rencontre ?

P B : Ma rencontre avec Ba’ponga s’est faites alors que j’avais 10-11 ans. À l’époque, Ba’ponga que j’appelle affectueusement ” le boss” était tout au sommet : prix du meilleur rappeur gabonais ( 2003 ), leader incontesté de EBEN ENTERTAINMENT et artiste solo en plein développement. Vous comprenez qu’avec tout ça il n’était pas du tout facile de croiser l’homme dans les rues de Libreville. Pour accéder à lui, j’ai cherché par tout les moyens possibles à intégrer son fan club. Une fois à l’intérieur, j’ai captivé son attention par mon jeune et ma capacité à réagir sur des questions essentielles au plan de carrière défini par Ba’ponga.

AKR : Comment ton intégration s’est faites au fan club ?

P B : Elle a évolué tout doucement. Au tout début, mon âge était une limite au sein du fan club. Après plusieurs rencontres, j’ai été accepté par les autres. Étant le plus jeune, ma tâche de travail se limitait beaucoup plus au collage mural des affiches. Sérieux dans cet exercice, j’ai fini par intégrer le noyau dur du label et grimper en responsabilité avec le départ de certains membres.

AKR : Parlant de responsabilité, à quel moment Ba’ponga décide de te donner la gestion de son fan club ?

P B : Je disais tantôt que le départ de certains membres du fan club m’ont fait grimper en responsabilité. Alors, devant les tâches qui m’étaient assignées j’ai toujours su faire preuve ” d’efficacité “, comme certains aimaient à le dire à l’époque. Au regard de mon sérieux et de ma capacité à bien gérer certaines choses, j’ai naturellement gravi les échelons.

AKR : C’est partant de cette évolution que vous êtes aujourd’hui manager de Ba’ponga et principal responsable de son label, NEGRATTITUDE ?

Logo NEGRATTITUDE

P B : Oui, j’ai progressé tout doucement et je suis aujourd’hui manager de Ba’ponga et principal responsable de son label. Vous savez, ces responsabilités sont tout simplement le résultat d’un travail de longue haleine.

AKR : Parlons du futur et de ” Future8888 ” ?

Logo Future8888

P B : sympa le jeu de mots. Bâh, mon avenir s’inscrit dans l’indépendance. Comme le souvez, parallèlement à mes activités de management avec NEGRATTITUDE et Ba’ponga, je développe mon label ” Future 8888 “. Label dans lequel pas mal d’artistes sont signés : BIG BOSS J.O.J.O, Vlay’s et des talents que le public découvrira sous peu.

AKR : Comment parvenez-vous à gérer des artistes qui ne vivent pas sur le sol Gabonais ?

Vlay’s : artiste signée en production et en management

P B : Pas facile. Mais la connaissance de nouveaux outils de communication tout est possible. Le fait pour eux d’être hors de frontières gabonaises peut aider à conquérir un nouveau marché.

AKR : Quel est ce marché ?

BIG BOSS J.O.J.O : artiste signé en management

P B : Le marché français. Mes deux artistes sont basés en France depuis quelques temps.

AKR : Pas facile comme objectif. Qu’elle est la stratégie mise en place pour percer le marché ?

P B : Révéler ma stratégie c’est mettre un plat croustillant sur la table de la concurrence ( rire ). Plus sérieusement, nous travaillons et d’ici peu cela se fera ressentir.

AKR : Pour finir, un mot à l’endroit des jeunes qui souhaitent embrasser la carrière de manager ?

Prince Boussombo

P B : Comme il s’agit des jeunes, je vais essayer de toucher la sensibilité de ces derniers par un message qu’aime véhiculer un talent de NEGRATTITUDE, MC Bright : << Si tu dors c’est ta vie qui dort >>. En gros, qu’ils assument leurs ambitions par le travail.

Mihi…

Continue Reading