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Route Factory-Okala : Une infrastructure moderne pour transformer le quotidien des habitants

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Depuis l’investiture du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), dirigé par le Général Brice-Clotaire Oligui Nguema, le Gabon s’inscrit dans une dynamique ambitieuse de modernisation de ses infrastructures. Au cœur de cette transformation, il y a notamment la réhabilitation de la route Factory-Okala, un projet stratégique dans la commune d’Akanda. Mené sous la supervision du capitaine Léandre Mario Dipendet et confié à la Société de Construction d’Excellence, ce chantier marque une étape cruciale pour désenclaver la zone et améliorer les conditions de circulation dans un contexte urbain en pleine expansion.

Une route conçue pour durer

À la roue Factory-Okala, les travaux progressent et sont actuellement au stade de remblai.

Ce projet se distingue par un choix audacieux : la construction en béton. Ce matériau, connu pour sa durabilité et sa robustesse, s’impose comme une solution adaptée aux défis locaux. Plusieurs arguments justifient ce choix :

Fiabilité technique : Le béton est capable de supporter des charges lourdes et résiste aux conditions climatiques extrêmes, notamment les pluies intenses qui fragilisent souvent les routes en asphalte.

Longévité accrue : Avec une durée de vie supérieure à celle des revêtements classiques, le béton réduit les besoins en entretien, générant des économies substantielles à long terme.

Environnement optimisé : Bien que sa production soit énergivore, sa durabilité permet de diminuer la fréquence des travaux, réduisant ainsi l’empreinte écologique globale.

Capitaine Léandre Mario Dipendet, surpris sur le chantier de construction de la route Factory-Okala, a répondu aux questions de nos équipes avec assurance.

« En optant pour le béton, nous faisons le choix d’une infrastructure durable, capable de répondre aux besoins des générations actuelles et futures, » souligne le capitaine Léandre Mario Dipendet.

Un chantier sous haute surveillance

Depuis le début des travaux, il y a une semaine, le site est en pleine activité. Au cœur de cette transformation, il y a notamment la rigueur et l’efficacité des équipes sur le terrain. Une centaine d’ouvriers, épaulés par des machines modernes, s’attèlent à respecter le délai ambitieux de deux mois. Le capitaine Dipendet, présent quotidiennement sur le chantier, s’assure que les normes de qualité sont scrupuleusement respectées.

Échange avec un technicien sur les avancées et les défis techniques observés lors de la visite du chantier de la route Factory-Okola.

Malgré les contraintes liées à la saison des pluies, les travaux avancent à un rythme soutenu. « Nous avons pris des mesures préventives pour minimiser les interruptions dues aux intempéries et garantir la continuité des travaux, » explique le capitaine.

Un projet salué par les riverains

Élodie Okome, riveraine de la route Factory-Okala, s’est dite enthousiaste devant l’avancée des travaux et a répondu à nos questions.

Ce chantier ne passe pas inaperçu auprès des habitants de la zone Factory-Okala, qui se réjouissent de cette initiative tant attendue. Élodie Okome, résidente locale, exprime sa satisfaction : « Avec cette route, nous aurons enfin une circulation plus fluide. Elle va faciliter nos déplacements, surtout en cette saison des pluies où les chemins deviennent impraticables. C’est une réelle amélioration pour notre quotidien. »

Pour les riverains, ce projet est plus qu’une simple infrastructure : il symbolise une meilleure connexion avec le reste de la ville et une qualité de vie accrue.

Une vision pour l’avenir

La réhabilitation de la route Factory-Okala s’inscrit dans une stratégie nationale visant à moderniser les infrastructures et à stimuler le développement économique. Les autorités locales prévoient également de mettre en place un plan d’entretien rigoureux pour préserver l’état de la route et éviter sa dégradation prématurée.

Le capitaine Dipendet résume : « Ce chantier est une étape vers un Gabon résilient, moderne et centré sur les besoins de ses citoyens. Une fois achevée, cette route deviendra un axe vital pour la commune et au-delà. »

Panneau du chantier

Les chiffres clés du projet

Matériau principal : Béton

Durée des travaux : 2 mois

Entreprise exécutante : Société de Construction d’Excellence

Zone concernée : Commune d’Akanda

Objectifs : Désenclavement, fluidification de la circulation, réduction des coûts d’entretien

Un modèle pour l’avenir

Au cœur de cette transformation, il y a notamment l’alliance entre innovation et rigueur opérationnelle. Ce projet routier, emblématique de la nouvelle politique d’infrastructure, établit un standard qui pourrait inspirer d’autres initiatives à travers le pays.

La route Factory-Okala incarne une vision du progrès où chaque action vise à améliorer le quotidien des citoyens tout en construisant un avenir durable. Plus qu’une simple construction, cette route représente un engagement pour un Gabon moderne et résilient.

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Stéphane Lasme : Une Icône du Basket Gabonais en Route pour la Fédération

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La candidature de Stéphane Lasme à la présidence de la Fédération Gabonaise de Basketball (FEGABAB) suscite un véritable engouement au sein de la communauté sportive gabonaise. Joueur d’exception et premier Gabonais à avoir foulé les parquets de la NBA, Lasme incarne l’excellence et l’ambition, mais sa démarche soulève également des interrogations sur son implication dans le basket local.

Natif de Port-Gentil, Stéphane Lasme a marqué l’histoire du sport gabonais en devenant le premier joueur du pays à évoluer en NBA, une ligue où seuls les meilleurs mondiaux s’affrontent. Bien qu’il n’ait pas connu un succès retentissant en NBA, il s’est forgé un palmarès impressionnant en Europe, notamment en Grèce et en Turquie, où il a remporté plusieurs titres nationaux et continentaux, devenant une référence en matière de performance et de discipline.

Fort de cette expérience unique, Lasme ambitionne aujourd’hui de mettre ses compétences et son réseau international au service du basketball gabonais. Dans un contexte où le sport est en quête de renouveau et de structuration, sa candidature à la tête de la FEGABAB est perçue par beaucoup comme une opportunité de hisser le basket national à un niveau supérieur.

Cependant, cette candidature, bien que largement saluée, n’est pas exempte de critiques. Certaines voix pointent son faible investissement dans le développement du basket local, notamment en comparaison avec d’autres figures historiques du sport gabonais, à l’instar de Marius Assoumou, ancien joueur de l’équipe nationale, connu pour son engagement constant sur le terrain et auprès des jeunes.

Lasme, de son côté, défend une vision tournée vers l’avenir. « Mon objectif est de faire du basketball un vecteur de fierté nationale et une discipline professionnelle au Gabon », a-t-il déclaré lors de l’annonce de sa candidature. Il insiste sur l’importance de la formation des jeunes, des infrastructures modernes et de la collaboration avec des institutions sportives internationales pour relancer une discipline en perte de vitesse.

À quelques mois des élections à la FEGABAB, la communauté sportive reste divisée entre optimisme et scepticisme. Si Lasme parvient à démontrer sa capacité à reconnecter avec les réalités locales tout en capitalisant sur son expérience internationale, il pourrait bien devenir le catalyseur dont le basketball gabonais a besoin.

Une chose est certaine : la candidature de Stéphane Lasme marque un tournant dans l’histoire du sport gabonais, mettant en lumière la nécessité d’un leadership ambitieux et inclusif pour relever les défis du futur.

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Violences basées sur le genre : trois expertes à Urban FM dans le cadre des 16 jours d’activisme

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Dans le cadre de la campagne internationale des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre, la matinale Dafreshmorning sur Urban FM a reçu trois figures engagées dans la lutte contre ce fléau. Le Dr Marcia Angue épouse Pemengoye, experte en gestion des violences, Betty Abaghe Messie, directrice du centre d’accueil des victimes de violences basées sur le genre de Nzeng-Ayong, et Meïwen Mbesot, chargée du suivi-évaluation à l’UNFPA, ont abordé les défis et les actions entreprises pour prévenir et traiter les violences.

Une diversité de violences qui touchent tous les genres

Les intervenantes ont rappelé que les violences prennent des formes variées – physiques, verbales, psychologiques, économiques, et même sexuelles. Si 89% des victimes reçues au centre sont des femmes, les 11% d’hommes accueillis témoignent d’une problématique qui dépasse les stéréotypes habituels. “Les violences ne se limitent pas à des agressions physiques. Les mots et les humiliations peuvent être tout aussi destructeurs. Les cas d’hommes victimes montrent que la problématique est universelle,” a expliqué le Dr Marcia.

Betty Abaghe Messie a détaillé l’approche holistique mise en place au centre de Nzeng-Ayong : “Nous offrons une prise en charge complète grâce à une équipe multidisciplinaire : infirmiers, psychologues, conseillers juridiques, officiers de police judiciaire. Notre mission est d’accompagner les victimes de l’assistance médicale à la médiation, voire à la plainte.”

La loi 006/21 : un outil essentiel dans la lutte contre les violences

Le Dr Marcia a également souligné l’importance de la loi 006/21 du 6 septembre 2021, qui représente un pas significatif pour encadrer juridiquement la lutte contre les violences basées sur le genre au Gabon.

“Cette loi, soutenue par le gouvernement, est un outil crucial. Elle offre un cadre légal clair pour protéger les victimes, mais aussi pour sanctionner les auteurs. Cependant, son efficacité dépend de la sensibilisation et de la mobilisation collective,” a-t-elle ajouté.

Prévention et sensibilisation : des priorités pour l’UNFPA

Pour Meïwen Mbesot, la campagne des 16 jours met l’accent sur la prévention, une stratégie essentielle pour enrayer le fléau des violences. Elle a insisté sur la nécessité d’informer les communautés et de les mobiliser à travers des campagnes médiatiques. “Nous voulons mettre un accent particulier sur la prévention. Sensibiliser, c’est permettre à chacun de devenir un acteur du changement,” a-t-elle affirmé.

Un rendez-vous clé le 28 novembre

Le 28 novembre 2024, des consultations juridiques gratuites seront proposées au centre d’accueil de Nzeng-Ayong. Cette initiative offrira aux victimes et à leurs proches l’opportunité d’accéder à des conseils juridiques spécialisés et de bénéficier d’un accompagnement personnalisé. Ces consultations visent à renforcer les droits des victimes et à les guider dans les démarches judiciaires souvent complexes. Une telle action est cruciale dans la lutte contre l’impunité et dans la protection des victimes, leur permettant d’obtenir justice de manière concrète et accessible.

Sur Urban FM, les experts ont mis en lumière les enjeux des violences basées sur le genre dans le cadre des 16 jours d’activisme.

En parallèle, le numéro vert 1404 reste à disposition pour des dénonciations anonymes et une assistance immédiate.

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Serge Abessolo primé à la 5ᵉ édition de la NISA : une nouvelle consécration pour le cinéma gabonais

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L’acteur gabonais Serge Abessolo a remporté le Prix de la meilleure interprétation internationale lors de la 5ᵉ édition de la Nuit Ivoirienne du Septième Art et de l’Audiovisuel (NISA), tenue le 22 novembre à Abidjan. Ce prix, obtenu grâce à son rôle dans la série ivoirienne Buzz diffusée sur NCI, vient couronner une prestation saluée unanimement par le jury et le public.

Une reconnaissance continentale

Face à des talents africains de renom comme Issiaka Sawadogo ou Pol White, Serge Abessolo s’est imposé grâce à sa capacité à incarner des personnages complexes avec authenticité. Déjà connu pour ses rôles marquants dans des séries telles que Ma Famille ou encore Cacao, il confirme son statut de figure incontournable du cinéma africain. Ce trophée, son 25ᵉ en carrière, renforce sa position comme l’acteur gabonais le plus primé à l’international.

Une fierté pour le Gabon et l’Afrique

En tant que directeur général de l’Institut Gabonais de l’Image et du Son (IGIS), Serge Abessolo ne cesse de promouvoir l’excellence artistique et le rayonnement du septième art africain. Son sacre illustre le potentiel croissant du cinéma continental à briller sur la scène mondiale. Sur ses réseaux sociaux, il a partagé sa joie : “Heureux qui comme ABESS a reçu le prix de la Meilleure interprétation internationale lors de la Nuit Ivoirienne du Septième Art.”

Le triomphe de Serge Abessolo est une source d’inspiration pour une nouvelle génération d’acteurs et une vitrine du talent gabonais. Une victoire personnelle qui résonne comme un symbole pour tout un continent.

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