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Présidentielle 2025 : K.IN.G, Une association au service de la communauté Omyènè, désormais engagée aux côtés de Brice-Clotaire Oligui Nguema
C’est dans une atmosphère empreinte de ferveur et d’engagement que l’association KÛMBA Y’INÔNGÔ GUWANI (K.IN.G) officiellement déclaré son soutien à la candidature du Président de la Transition, Brice-Clotaire Oligui Nguema, pour l’élection présidentielle du 12 avril 2025. Réunis ce mercredi au quartier Plein Niger, précisément à la Fondation Les 4 Saisons, un lieu emblématique de rassemblement et de transmission des valeurs culturelles de la communauté Omyènè, les membres de l’association ont exprimé leur adhésion à la dynamique de renouveau portée par le chef de l’État.
Depuis sa création, K.IN.G s’est illustrée par sa capacité de mobilisation, rassemblant plus de 1 000 personnes lors de sa sortie officielle le 9 février dernier. Cette démonstration de force témoigne de l’intérêt et de l’adhésion des membres de la communauté à ses valeurs fondamentales : renforcer l’unité et le développement de la communauté Omyènè, tout en valorisant son patrimoine culturel. Aujourd’hui, au-delà de son ancrage culturel et social, l’association fait un pas décisif vers l’engagement politique, estimant que la vision et les actions du Président de la Transition répondent aux aspirations profondes de la communauté et, plus largement, du peuple gabonais.
Un engagement motivé par une vision commune

Dans une déclaration solennelle, les membres de K.IN.G ont rappelé que « notre pays émerge des convulsions et des soubresauts désastreux. Ces spasmes de violence ont éprouvé le peuple gabonais, par ses larmes, sa sueur, son stress et son sang. » Face à cette histoire marquée par des crises et des incertitudes, l’association voit dans la transition actuelle une opportunité historique de reconstruction et de réconciliation nationale.
Le 30 août 2023 a marqué, selon eux, un tournant décisif. « Enfin, une lueur d’espoir plane sur notre pays. Un processus qui semble irréversible, par la vitalité et l’authenticité dégagées par son challenger, nous plonge dans une hystérie collective heureuse comme jamais. » Un enthousiasme renforcé par les nombreuses réformes mises en œuvre sous l’impulsion du Président Oligui Nguema, parmi lesquelles l’association a tenu à souligner :
▪La mise en place de la nouvelle Constitution, garantissant plus de transparence et de stabilité institutionnelle ;
▪Le nouveau Code électoral, pour des élections plus crédibles et démocratiques ;
▪Le rétablissement des bourses scolaires, permettant à la jeunesse gabonaise d’accéder à l’éducation dans de meilleures conditions ;
▪Le désenclavement des quartiers sous-intégrés, avec l’amélioration des infrastructures routières ;
▪La création d’emplois à travers des initiatives comme Taxi Gab ;
▪L’essor du secteur aérien national avec Fly Gabon, symbole du retour du Gabon sur la scène économique régionale.
Un appel à la mobilisation générale
Conscients des défis qui restent à relever, les membres de K.IN.G ont appelé l’ensemble des citoyens à se rassembler autour de la candidature de Brice-Clotaire Oligui Nguema. « Le chemin sera semé d’embûches, mais la cohésion et la solidarité entre nous, enfants du Gabon, permettront que nous parvenions à les relever et satisfaire tant les promesses que les attentes de nos compatriotes impatients », ont-ils affirmé.
À travers cette motion de soutien, l’association s’inscrit pleinement dans la continuité des actions engagées pour la restauration du développement national et le retour à une dignité longtemps bafouée. Elle marque ainsi une volonté claire de jouer un rôle actif dans la refondation du pays et d’œuvrer, aux côtés du Président de la Transition, à la construction d’un avenir plus prospère pour tous les Gabonais.
Une dynamique qui s’inscrit dans la durée

Alors que la campagne présidentielle se déroulera du 29 mars au 11 avril 2025, tous les regards sont tournés vers K.IN.G et les initiatives qu’elle mettra en place pour concrétiser son engagement. L’association a promis de rester mobilisée sur le terrain, multipliant les actions de sensibilisation et de rassemblement en faveur du Président de la Transition.
À travers cette prise de position forte, K.IN.G démontre que son engagement dépasse la simple déclaration d’intention. Il s’agit d’un véritable projet de société, aligné sur une ambition commune : faire du Gabon un pays réconcilié, stable et prospère, porté par l’unité et la solidarité de ses enfants.

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Nzeng-Ayong : trou de la route bouché, problème enterré ?

Les alertes lancées par les usagers de la route de Nzeng-Ayong – notamment sur le côté droit de l’échangeur en rentrant dans le quartier – ainsi que nos articles précédents, semblent avoir été entendues. Le trou qui inquiétait piétons et automobilistes a été comblé. Une couche de gravier, recouverte de goudron, redonne au tronçon une allure réparée. Mais pour combien de temps ?
Une réparation express, mais fragile ?
Sur place, les automobilistes circulent à nouveau sans devoir slalomer autour de barrières rouges. À première vue, la voirie a été remise en état. Pourtant, derrière l’asphalte fraîchement posé, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la solidité de cette intervention. Le trou n’a pas été ouvert ni élargi pour en inspecter la profondeur ou les causes exactes. On a rebouché, simplement. Comme on panse une plaie sans désinfecter.
Un problème plus profond que le bitume
La zone concernée est connue pour être marécageuse. Des eaux souterraines y circulent, rongeant lentement mais sûrement les couches inférieures de la chaussée. Ce n’est pas le premier affaissement signalé, et probablement pas le dernier. D’où une question qui revient avec insistance : pourquoi n’avoir pas ouvert une tranchée plus large pour étudier la dynamique de l’eau en sous-sol ? Pourquoi ne pas avoir entrepris une réparation structurelle plutôt que cosmétique ?
“Il aurait peut-être fallu casser une bonne partie de la route, voir comment l’eau travaille en dessous, et tout repenser”, souffle un habitant du quartier. “Là, on a juste mis du goudron sur du sable mouillé.”
Des réparations qui interrogent sur la gouvernance
Ce genre d’intervention à minima reflète un mode de gestion des infrastructures où l’on réagit plus qu’on n’anticipe. Les solutions provisoires deviennent la norme, faute de volonté politique ou de vision technique. Et pendant ce temps, les routes s’effritent, les fonds publics s’évaporent dans des réparations répétitives, et la confiance des citoyens s’amenuise.
Vers un audit indépendant ?
Plusieurs voix s’élèvent désormais pour réclamer un audit technique indépendant sur cette portion de route, mais aussi sur d’autres axes stratégiques du pays. L’objectif serait d’identifier les zones à risques, d’adapter les techniques de construction aux réalités du terrain, et d’abandonner la logique du rafistolage.
Car à Nzeng-Ayong, ce n’est pas seulement la route qui s’effondre. C’est aussi la crédibilité d’un système censé garantir la sécurité et la mobilité des citoyens.
La rédaction/ Lucien
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EZE MAESTRO – La Gabonaise, le clip bientôt disponible !

Eze Maestro, talentueux artiste ivoirien de Zouglou, poursuit son ascension avec un nouveau single prometteur : La Gabonaise. Une œuvre née d’une rencontre inattendue mais pleine de flair, orchestrée par la productrice gabonaise Wendy Karamel.
C’est dans un espace de divertissement en Côte d’Ivoire que Wendy Karamel repère l’artiste, alors en prestation. Immédiatement séduite par son énergie scénique, elle décide de miser sur lui. Ancienne collaboratrice du groupe Afrik’an Legend et figure incontournable du lien culturel entre la Côte d’Ivoire et le Gabon, Wendy Karamel fait aujourd’hui de cette découverte un projet de cœur.
Sur les réseaux sociaux, notamment TikTok, elle construit une dynamique complice avec Eze Maestro, relatant une story d’amour fictive qui inspirera le titre La Gabonaise, une chanson à la fois hommage personnel et déclaration d’amour à la femme africaine.
Très vite, le morceau séduit les médias ivoiriens. Aujourd’hui, c’est au tour du Gabon d’entrer dans la danse. En séjour à Libreville, Wendy Karamel, à travers son label Wendy Karamel Corporate, accompagne la production du clip, confiée à Wiltrand Shot.

Le tournage, entamé dans des lieux emblématiques comme la Résidence Océane, la Baie des Rois, l’aéroport Léon Mba, les marchés d’Akanda et d’Akébé, s’est conclu au centre-ville lundi dernier, offrant des scènes à la hauteur du message porté par l’artiste : une ode à l’amour et à l’élégance de la femme africaine.
Présente sur le tournage, l’équipe d’Akûm Radio a découvert un artiste passionné, guidé par une productrice exigeante et investie. Eze Maestro, pour son tout premier clip sous cette direction artistique, semble prêt à marquer les esprits.

La sortie du clip La Gabonaise est imminente. Au-delà de l’audio déjà bien accueilli, les images promettent d’asseoir un peu plus le talent d’un artiste dont la sincérité et l’ambition forment une paire rare.
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Mario d’AfricaDream sonne la fin de la récréation “Kounabeliste” : place au travail pour les artistes gabonais

Durant deux semaines intenses, une partie de la scène artistique gabonaise s’est mobilisée pour soutenir le candidat Brice-Clotaire Oligui Nguema, désormais élu président. À travers des chansons engagées et des prestations scéniques dans tout le pays, les artistes ont activement pris part à la campagne électorale, devenant des relais culturels du discours politique.
Mais l’heure est désormais à un retour à la normale. Sur les réseaux sociaux, Mario, fondateur du label AfricaDream et figure influente du secteur culturel, a lancé un message clair et sans détour : « SVP, LA CAMPAGNE EST FINIE… LES CHANSONS DE SOUTIEN À NOTRE CANDIDAT ARRIVENT À EXPIRATION. SORTEZ LES BANGERS !!! Nous avons une industrie à construire. »
Un appel direct aux artistes pour qu’ils se recentrent sur leur métier premier : la création. Selon Mario, il est impératif de relancer les dynamiques culturelles hors du cadre politique, avec de nouvelles compositions originales, des concerts et des showcases afin de nourrir une scène musicale nationale encore trop dépendante des agendas politiques.
Ce rappel à l’ordre, teinté d’humour mais chargé de sens, invite toute une génération d’artistes à sortir de la logique de campagne pour entrer dans une logique de construction durable de l’industrie culturelle gabonaise.