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Nelyo signe son come back avec ” K.O ”

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Comme promis, le label Dynastie a lâché le nouveau titre de Nelyo, K.O. Cette nouvelle production est la première du label, depuis sa signature chez Universal Music Africa.

Nelyo

Comme annoncé le 25 septembre dernier par Amenem, lors de la conférence presse qui avait pour but d’officialiser la signature du label Dynastie chez Universal Music Africa, Nelyo a sorti le single vidéo, K.O. Un titre sorti le 14 Octobre dernier. Cette production qui est la première du label dans sa nouvelle dimension, elle lance l’histoire qui lie désormais le jeune label Gabonais au major américain, via son démembrement africain.

La chanson de Nelyo est fidèle à ses anciennes productions dans le fond, en ce sens quelle parle d’amour et des péripéties dramatiques qui vont avec. Si à une certaine époque, l’artiste évoquait le rapport incestueux entretenu avec sa cousine par méconnaissance des liens de parenté. Aujourd’hui, Nelyo nous plonge dans une déception amoureuse dont il est la victime. En bon lover, le chanteur traduit son mal-être par un flow chancelant et un texte émouvant d’où nous tirons ces quelques phrases : << C’est maintenant que j’apprends que tu étais déjà engagé… Un mec vient de m’appeler et m’a envoyé toutes vos photos (…) Tu m’as fait mal bébé, tu m’as mis K.O (… ) >>.

Mihi…

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Face à la fermeture de son siège, le RGEDD choisit l’action citoyenne plutôt que le silence

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Scellé depuis janvier, le siège du Réseau Gabonais pour l’Environnement et le Développement Durable (RGEDD) symbolise aujourd’hui un combat juridique toujours en cours. Pourtant, loin de se replier, l’ONG répond à cette épreuve non pas par la confrontation directe, mais par une mobilisation citoyenne exemplaire.

Une expulsion controversée

Le 2 janvier 2025, les portes du siège du RGEDD, situé derrière le Palais de Justice de Libreville, ont été fermées sur décision de Maître Francis NKEA NDZIGUE, avocat et ancien ministre de la Justice. Prétextant une récupération des lieux pour l’agrandissement de son cabinet, ce dernier aurait précipité l’expulsion sans permettre à l’ONG de se réorganiser. Intrusions documentées, rupture de bail contestée : le différend, désormais devant la justice, suscite un vif débat.

Une réponse par l’exemple : 22 mars 2025

Fidèle à sa mission environnementale, le RGEDD a orchestré le 22 mars une vaste opération de nettoyage dans 13 quartiers de Libreville. Une initiative citoyenne, portée par :

▪︎150 volontaires mobilisés

▪︎7 associations partenaires

▪︎8,63 tonnes de déchets collectés, dont 850 kg de plastique

PK6, Dragage, Sibang, Nzeng… les balais ont remplacé les banderoles dans une démonstration de résilience collective.

« On n’a pas besoin de murs pour faire notre travail », confie une membre active du RGEDD.

Des actions régulières pour un impact durable

Cette opération s’inscrit dans une série d’initiatives menées par le RGEDD pour préserver l’environnement :

▪︎LBV Plages Propres : Un concours de ramassage d’ordures sur les plages de Libreville, impliquant associations, organisations et entreprises locales.

▪︎Mon Quartier Propre : Une campagne de sensibilisation de proximité sur les enjeux environnementaux dans les quartiers, visant à réduire la pollution plastique en amont.

▪︎Opération Plage Propre : En février 2025, 157 participants ont collecté 600 kg de déchets à l’arboretum Raponda Walker, en collaboration avec l’armée française et d’autres partenaires locaux.

▪︎Jeudi Vert : Une initiative nationale encourageant les citoyens à poser des gestes simples chaque jeudi pour protéger l’environnement, incluant des activités de nettoyage et des émissions de sensibilisation.

Aligner l’action sur les ODD

L’opération s’inscrit dans les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations unies :

▪︎ODD 11 : Villes durables

▪︎ODD 12 : Consommation responsable

▪︎ODD 13 : Action climatique

▪︎ODD 17 : Partenariats pour la réalisation des objectifs

Avec le soutien de Sobraga et Clean Africa, le RGEDD transforme l’adversité en levier d’impact.

Et après ?

Loin de ralentir, le RGEDD prévoit :

▪︎La réouverture prochaine de ses bureaux

▪︎Le lancement du Parlement Vert, lieu de débat et d’éducation environnementale

▪︎La création d’un Label RSE pour valoriser les entreprises responsables

▪︎La tenue du Forum National sur l’Environnement et le Développement Durable (FNEDD)

Un message fort

Dans un contexte où les ONG environnementales peinent à se faire entendre, le RGEDD réaffirme sa vocation : défendre la planète, même sans toit. Fragilisé mais actif, contesté mais indispensable, évincé mais toujours debout.

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Chef du Département Travaux publics à la Présidence, Boungoueres positionné pour traduire sa vision en actions

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À la suite du Conseil des ministres du 8 mai 2025, le président de la République, Brice-Clotaire Oligui Nguema, a procédé à la nomination d’Alain Alain Simplice Boungoueres au poste de Conseiller Spécial, Chef du Département Travaux publics et Infrastructures. Cette nomination, hautement symbolique, marque un tournant dans la dynamique de refondation nationale, incarnant une volonté claire d’ouverture politique et de cohésion autour des enjeux de développement.

Ancien adversaire du chef de l’État à la présidentielle d’avril 2025, Alain Simplice Boungoueres s’était distingué par un projet de société structuré autour de cinq grands axes : la réforme des services de base, la lutte contre la vie chère, la réforme foncière, la rationalisation des dépenses publiques, et la diversification économique. Sa nomination à la tête du département des Travaux publics et infrastructures pourrait désormais offrir un cadre concret pour matérialiser certaines de ses propositions, notamment celles qui rejoignent les ambitions stratégiques du président.

Réforme de la SEEG : une solution envisagée aux coupures persistantes

L’un des points majeurs de son projet réside dans la scission de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) en deux entités distinctes : l’une dédiée à l’électricité, l’autre à la gestion de l’eau. L’objectif affiché est d’optimiser la gouvernance et d’améliorer la qualité de service dans ces deux secteurs essentiels. Cette réforme, si elle venait à être appliquée, pourrait constituer une réponse structurelle aux nombreuses coupures d’électricité et d’eau qui continuent d’affecter aussi bien Libreville que les localités de l’intérieur du pays.

En sa qualité de chef du département en charge des infrastructures, Alain Simplice Boungoueres est désormais bien placé pour initier les études et les démarches nécessaires à cette transformation. Son expertise en génie civil, conjuguée à sa formation en économie des transports, le positionne comme un acteur clé dans la quête d’efficacité et de modernisation des services publics.

Réduire le coût de la vie : production locale et accès aux marchés

Au-delà des infrastructures, Boungoueres a proposé un système d’achat « bord champ » visant à faciliter la commercialisation des produits agricoles tout en réduisant la charge logistique pesant sur les producteurs. Une réforme complémentaire à la volonté présidentielle de promouvoir la souveraineté alimentaire et l’autosuffisance.

La relance de la pisciculture fait également partie de sa stratégie, avec pour ambition d’accroître l’offre locale de poisson, de réduire les importations et de stabiliser les prix sur le marché.

Réforme foncière et logement : une approche orientée vers l’accessibilité

Dans un contexte marqué par un déficit de 260 000 logements, l’approche de Boungoueres vise à mettre sur le marché des terrains à coûts raisonnables, afin de favoriser la construction par les particuliers et les promoteurs privés. Il souhaite également revoir le système de taxation foncière, notamment en imposant les terrains bornés, pour accroître les ressources fiscales de l’État.

Sobriété budgétaire et gouvernance allégée

En matière de gouvernance, le nouveau conseiller spécial plaide pour une rationalisation des institutions, avec une réduction du nombre de parlementaires (103 députés au lieu de 145, 48 sénateurs au lieu de 70), dans une optique de réduction des dépenses publiques et de redéploiement des moyens vers des projets structurants.

Une vision partagée avec le chef de l’État

Plus globalement, la vision de Boungoueres, notamment en matière de valorisation des ressources pétrolières au service d’autres secteurs comme l’économie numérique, trouve un écho dans le programme présidentiel, centré sur la diversification économique et la création d’emplois pour les jeunes.

Vers une convergence des ambitions

La nomination d’Alain Simplice Boungoueres apparaît donc comme un acte politique fort : au-delà de l’ouverture, elle illustre une volonté d’intégrer les compétences et les idées novatrices dans l’architecture de gouvernance. À la tête du département des Travaux publics et infrastructures, il aura les moyens d’agir sur des leviers essentiels pour améliorer la vie quotidienne des Gabonais, notamment en matière d’accès à l’eau, à l’électricité, au logement et aux infrastructures de base.

Cette nouvelle fonction pourrait marquer le début d’une coopération pragmatique entre les deux anciens rivaux, unis désormais par une vision commune : celle d’un Gabon plus équitable, plus performant et résolument tourné vers l’avenir.

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Nouveau Gouvernement : Hermann Immogault, le maître d’oeuvre de l’organisation électorale, conforté à l’intérieur

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La mise en place du premier gouvernement de la Cinquième République gabonaise s’est achevée dans un climat de stabilité institutionnelle. À la suite de son investiture officielle, le Président de la République, Brice-Clotaire Oligui Nguema, a procédé à la formation de son équipe gouvernementale, débutant par la nomination du vice-président de la République, Séraphin Moundounga, puis du vice-président du gouvernement, avant de dévoiler une liste de 30 ministres.

Parmi les personnalités reconduites, la présence d’Hermann Immongault au poste de Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation s’impose comme une décision hautement stratégique. Déjà en charge de ce portefeuille sensible durant les vingt mois de la Transition, il a su gagner en crédibilité en supervisant avec rigueur et efficacité l’ensemble du processus ayant conduit à l’élection présidentielle du 12 avril 2025.

Une élection présidentielle organisée sans failles

Dès son arrivée au ministère, Hermann Immongault a dû relever un défi de taille : restaurer la confiance dans le fichier électoral. L’enrôlement, mené sous sa direction, a permis de produire une base de données jugée fiable par les différents acteurs politiques et la société civile.

Mais c’est surtout son implication personnelle dans la préparation du scrutin qui a été saluée. Actif au Parlement, il a défendu avec méthode le projet de loi sur le nouveau Code électoral, finalement validé par les députés et les sénateurs. Cette réforme a posé les bases d’un scrutin transparent, inclusif et conforme aux standards démocratiques.

Le jour du vote, la bonne tenue de l’élection présidentielle a été unanimement reconnue. Le candidat Brice-Clotaire Oligui Nguema l’a emporté avec 94,85 % des suffrages exprimés. Fait inédit dans l’histoire électorale du Gabon : aucun candidat n’a introduit de recours devant la Cour constitutionnelle, signe d’un processus électoral accepté par tous.

Un choix de continuité pour les échéances à venir

Alors que le pays s’apprête à organiser les élections législatives et locales dans les mois à venir, le maintien d’Hermann Immongault dans ses fonctions apparaît comme une décision logique du chef de l’État. Elle assure la continuité dans la conduite des réformes électorales et le renforcement de l’administration territoriale.

Ce choix confirme aussi la volonté du président Oligui Nguema de s’appuyer sur des profils expérimentés et techniquement solides pour accompagner les premiers pas de la Cinquième République. Hermann Immongault, en cela, incarne une certaine stabilité administrative, indispensable à la poursuite du processus de refondation engagé.

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