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Mulundu : Hermann Immongault Engage une Discussion Cruciale sur les Projets de Développement
Le 6 septembre 2024, Hermann Immongault, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique et fils de Mulundu, a dirigé une réunion essentielle avec les cadres du district de Ndangui, sous la conduite de l’Honorable Huguette TSONO. Cette rencontre visait à faire le point sur les projets annoncés par le Président de la Transition, Brice-Clotaire Oligui Nguema, lors de sa tournée républicaine à Mulundu. Les discussions ont notamment porté sur la construction du Centre d’Enseignement Secondaire (CES) de Ndangui, les projets prioritaires, les appels d’offre, et la création d’un comité de suivi des travaux.
L’Honorable TSONO a ouvert la séance en exprimant sa gratitude envers Monsieur Immongault pour sa disponibilité, tout en soulevant une préoccupation majeure : l’interruption des travaux du CES de Ndangui. Cette situation découle d’une confusion liée aux déclarations du Président de la Transition, qui avait évoqué un transfert possible du projet au Centre Technique de Réhabilitation et d’Intervention (CTRI). Cette ambiguïté avait conduit à une suspension des travaux et à une grève des habitants depuis le 5 septembre 2024.
Monsieur Immongault a clarifié la situation en affirmant : « L’objectif est d’accélérer les travaux du CES de Ndangui, et non de les transférer à une autre entité. Je souhaite rassurer les résidents que ce projet continuera comme prévu. » Cette déclaration vise à apaiser les inquiétudes des résidents de Ndangui, qui attendent avec impatience la réalisation de ce projet essentiel pour leur communauté.
La réunion a également permis de discuter des projets prioritaires définis avec les populations locales. Ces projets incluent l’acquisition de véhicules de transport, l’extension de la couverture téléphonique mobile, la construction d’un espace polyvalent, ainsi que l’amélioration des équipements du dispensaire et des logements. Monsieur Immongault a exprimé son soutien à ces initiatives et a insisté sur la nécessité de choisir des entreprises fiables pour leur réalisation, en demandant aux responsables locaux de soumettre des propositions d’entreprises compétentes.
La mise en place d’un comité de suivi des travaux a également été abordée. Monsieur Immongault a sollicité des suggestions pour la composition de ce comité afin d’assurer un suivi rigoureux et transparent des projets.
Cette rencontre est perçue comme un tournant pour le développement de Mulundu sous la Transition dirigée par le général Brice-Clotaire Oligui Nguema. Elle marque un engagement renforcé envers les projets locaux et une volonté claire de résoudre les problématiques en suspens pour garantir un avenir prospère à la région.
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“Élévation”, le nouveau visuel captivant et inspirant de Emma la Tigresse
Le jeudi 26 octobre, Emma la Tigresse, la chanteuse gabonaise à la carrière impressionnante de plus de 20 ans, a fait un retour sensationnel sur le petit écran. Son dernier projet visuel, intitulé “Élévation”, vient couronner une carrière marquée par la danse, la musique électrique et un engagement profond envers la justice sociale.
Le parcours artistique d’Emma a débuté aux côtés de Nicole Amogho, une icône de la musique gabonaise, où elle a forgé ses compétences artistiques sous toutes leurs formes. Tout comme sa mentore, Emma propose une musique électrique fusionnée avec la danse, héritage de son éducation musicale.
Après des années de succès en tant qu’artiste solo, Emma la Tigresse a marqué une pause pour revenir avec éclat sur la scène musicale gabonaise en 2023. En mai 2023, elle a sorti son dernier bébé musical, “Élévation”. Dès le jour de sa sortie, elle a fait la promotion de ce projet avec des challenges sur TikTok, créant un buzz autour de sa musique.
Ce projet, réalisé sous la direction de Zang, est bien plus qu’une simple chanson festive au rythme soukous. Il intègre des éléments de la langue Yipunu, issue de l’ethnie du Sud du Gabon, en plus du français. Mais au-delà de son caractère festif, “Élévation” porte un message profond. Il s’adresse aux personnes victimes d’injustice et de maltraitance, à ceux qui tentent de les empêcher de réussir dans la vie.
Emma la Tigresse explique que “On ne barre pas la lumière avec la main”. Cette métaphore éloquente dépeint l’idée que la lumière de la justice et de la réussite ne peut être éteinte, même par ceux qui cherchent à l’entraver. “Élévation” est un appel à la résilience, à la persévérance, et à la croyance en un avenir meilleur.
L’œuvre d’Emma la Tigresse incarne l’essence de l’artiste, de la danse à la musique, de la célébration à l’engagement social. Elle continue à illuminer la scène musicale gabonaise et à inspirer les âmes à travers sa musique. Avec “Élévation”, elle démontre une fois de plus sa capacité à faire réfléchir, danser et élever les esprits grâce à son art.
Mihi…
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“C’est comment ?” : Mani Bella expérimente le “Mbolé” en le rajeunissant
Mani Bella, de son vrai nom Véronique Mani Bella, est une artiste camerounaise puisse son histoire dans le terroir de son pays. Inscrite dans ce registre, la chanteuse enchaîne les tubes sans arrêter.
De repos ces derniers temps, du fait de sa nouvelle maternité, la chanteuse qui a donné de l’alan au Bikutsi s’essaie au Mbolé. Pour cette expérience, à travers le titre “C’est comment ?”, l’ambassadrice de la trame culturelle camerounaise partage la joie et la ferveur qu’impose l’exécution de ce rythme. Né au quartier Nkoldongo à Yaoundé, le Mbolé qui s’apparente au Bikutsi est une musique d’animation qui s’exécute dans des veillées de deuil. Naturellement présenté dans une atmosphère festive, sur les images de Bell Dominique, le Mbolé de Mani Bella s’adapte aux influences musicales du moment, par une approche urbaine.
S’appuyant sur les bases de ce rythme pour le rajeunir, la chanteuse rend tout d’abord hommage à l’icône par excellence du Mbolé qui n’est autre que Sa Majesté Junior Abega. En effet, dans ses paroles, ce nom revient plus d’une fois. Avec la même énergie, des célébres danseurs urbains tels que Maxime La Vitesse et Moctar apporte une fraîcheur à l’exécution des pas de danse du Mbolé.
Jeune, mais âgée dans la musique, du haut de sa décennie de carrière, Mani Bella se renouvelle pour plaire aux jeunes auditeurs, sans pour autant laisser en marge son public de la première heure. Souhaitons un bon retour au devant de la scène à une artiste qui plaît au public pour son audace et son inventivité.
Mihi…
News
Côte-d’Ivoire : top 5 des artistes les plus suivis au mois d’août
Nos confrères Congolais du magazine ” Mboté “, nous ont fait découvrir par un article le top 5 des artistes africains les plus suivis en cote d’ivoire, pour ce mois d’août. Ce classement nous livre des vérités que nous avons décidé de vous faire partager.
La popularité d’un artiste où d’un tube se mesure dorénavant par les vues sur YouTube. Cette plate-forme devient une sorte de baromètre de la musique. C’est en consultant ses vues que les médias peuvent mesurer le succès d’un titre où d’un artiste durant une période bien précise. C’est de cette façon que le magazine ” Mboté ” a pu dresser son top 5 des artistes Africains les plus suivis en Côte-d’Ivoire, durant ce mois d’août.
Le top 5 :
1 – Yodé et Siro, avec 5,52 millions de vues ;
2 – DJ Arafat, avec 5,49 millions de vues ;
3 – Dadju, avec 1,71 million de vues ;
4 – Voix des anges, avec 1,52 million de vues ;
5 – Fally Ipupa, avec 1,27 million de vues.
Que nous révèle ce top 5 ?
Le classement que nous fait découvrir à nos lecteurs est riche en enseignement. Dans un premier temps, Il nous permet de dire avec certitude que les Ivoiriens aiment la musique Africaine. Et dans un second temps, il fait savoir que le public Ivoirien consomme sa musique avant de savourer celle des autres. Une question de fierté, comme certains le disent dans les coins chauds d’Abidjan. En effet, sur les 5 artistes qui sont suivis trois sont Ivoiriens. Des 5 artistes, le plus célèbre sur l’espace continentale, Fally Ipupa, arrive à la cinquième et dernière place. Ce classement serait totalement inversé sous d’autres cieux.
Si nous faisons un tel classement au Gabon où au Cameroun pour ne citer que ces deux pays, ce dernier occuperait la première place. De ce fait, nous retenons que l’Ivoirien ” s’enjaille ” d’abord sur sa musique avant de ” s’ambiancer ” sur celle des autres.
Mihi…