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Espoir la Tigresse se mobilise pour soutenir Malaïka, une entrepreneure résiliente

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Espoir la Tigresse, la chanteuse gabonaise à succès depuis la sortie de son titre “Ma Biss” en fin d’année 2022, a récemment pris l’initiative de venir en aide à Malaïka, une jeune entrepreneure dont le salon de coiffure a été la proie des flammes. Ce geste généreux reflète la cohérence entre les messages portés par la chanteuse dans ses chansons et ses actions concrètes en tant que citoyenne engagée.

Malaïka, âgée de seulement 20 ans, a réalisé un exploit remarquable en économisant pendant cinq ans pour réaliser son rêve d’ouvrir son propre salon de coiffure pour dames à Libreville. Soutenue par ses parents, elle a fait preuve de détermination et de persévérance pour concrétiser son projet.

Cependant, un tragique incident est venu ébranler son entreprise florissante. Le siège de son salon de coiffure a été ravagé par un incendie, mettant en péril son gagne-pain et son rêve d’entrepreneuriat. La nouvelle a rapidement circulé sur les réseaux sociaux, attirant l’attention de la chanteuse à succès, Espoir la Tigresse.

Réputée pour ses chansons inspirantes et ses paroles engagées, Espoir la Tigresse a saisi l’occasion pour montrer que ses convictions ne se limitent pas à sa musique. Elle a lancé une cagnotte en ligne visant à collecter des fonds pour aider Malaïka à rebâtir son entreprise. De plus, l’association dirigée par Hercule Nze Souala s’est jointe à l’effort de soutien, apportant son expertise et son engagement en faveur de la reconstruction du salon de coiffure.

Cette démarche collective illustre le pouvoir de la solidarité et de l’entraide au sein de la communauté. Espoir la Tigresse, en agissant de la sorte, confirme que sa musique n’est pas seulement une forme d’expression artistique, mais aussi un moyen de mettre en pratique ses valeurs et de contribuer au bien-être de la société.

En somme, la mobilisation en faveur de Malaïka démontre que l’influence d’une personnalité publique peut s’étendre bien au-delà du divertissement. Espoir la Tigresse continue d’inspirer ses fans en montrant que la bienveillance et la compassion sont des valeurs qui transcendent les frontières de la scène musicale.

Mihi…

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Journée Nationale de la Femme au Gabon : l’association K.IN.G impulse une dynamique de terrain pour l’autonomie des femmes

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À l’occasion de la vingt-septième édition de la Journée Nationale de la Femme, célébrée ce 17 avril 2025 au Gabon, l’association KÛMBA Y’INÔNGÔ GUWANANI (K.IN.G), émanation de la communauté Omyènè, a marqué les esprits en organisant une rencontre engagée et inspirante dans le quartier populaire de Plaine Niger. Dans une atmosphère chaleureuse et fraternelle, l’association a réuni une vingtaine de femmes autour du thème national : « L’engagement communautaire pour l’Égalité des Genres et l’Autonomie des Femmes ».

Pour cette première action publique, deux invitées de marque ont été sollicitées : Dr Marcia Angue Pemengoye, chirurgienne, experte judiciaire et militante engagée, et Betty Abaghe Messie, directrice du Centre d’accueil de Nzeng-Ayong rattaché au ministère de la Femme. À travers échanges, exercices pratiques et témoignages personnels, elles ont partagé leurs expériences et offert des outils concrets pour favoriser l’autonomisation économique et psychologique des femmes.

Entre leadership féminin et entrepreneuriat local : une rencontre de fond

C’est Céline Tchialé, vice-présidente de l’association, qui a ouvert la séance en rappelant la mission de K.IN.G : agir à l’échelle communautaire pour renforcer la place des femmes dans la société. « Il faut que nos sœurs prennent leur place. Et cela commence par la solidarité et la connaissance de nos droits », a-t-elle affirmé.

Très attendue, l’intervention du Dr Marcia Angue Pemengoye a donné une impulsion particulière à l’échange. Se fondant sur son double parcours médical et juridique, elle a axé son propos sur l’importance de l’autonomie financière, en insistant notamment sur l’entrepreneuriat féminin comme levier de transformation sociale. « Une femme intelligente ne se retrouve jamais sans argent, parce qu’elle planifie tout », a-t-elle lancé d’un ton ferme.

Elle a invité les participantes à identifier leurs talents — cuisine, couture, coiffure, artisanat — et à les transformer en projets viables, en maîtrisant leur cible, la qualité de leurs produits et les bases de la gestion. Loin d’un simple discours, son intervention s’est transformée en atelier participatif, ponctué de formules marquantes que les femmes ont reprises à l’unisson : « Celle qui gagne, c’est celle qui ose » ; « Mon argent travaille pour moi ».

Un moment d’introspection et de transmission

La seconde intervenante, Betty Abaghe Messie, a proposé une approche plus introspective. Par un exercice simple, les yeux fermés, elle a invité les femmes à reconnecter avec leurs rêves enfouis, à exprimer leurs envies de reconversion ou leurs projets oubliés. « Ce n’est pas toujours là où on commence qu’on finit, mais on peut toujours revenir à ses aspirations », a-t-elle rappelé, en partageant son propre parcours entre rêve de mannequinat et carrière juridique.

Des femmes pour les femmes : plaidoyer pour une entraide réelle

La rencontre ne s’est pas contentée d’être inspirante. Elle a aussi permis un regard critique sur les obstacles persistants, notamment les tensions entre femmes. « Le problème de la femme, c’est souvent la femme elle-même », a regretté Céline Tchialé, dénonçant la concurrence délétère, en politique comme dans les circuits économiques.

Les deux expertes ont encouragé les participantes à construire des dynamiques collectives positives, à se soutenir mutuellement et à partager leurs connaissances. « L’émancipation passe par la transmission », a rappelé Dr Marcia, soulignant l’importance d’un féminisme pragmatique, local et solidaire.

La communauté Omyènè, un ancrage pour l’action

À travers cette initiative portée par K.IN.G, la communauté Omyènè confirme son impact croissant dans la société gabonaise, en activant ses points d’ancrage culturels, sociaux et économiques. En valorisant le rôle des femmes dans la transformation communautaire, elle affirme sa volonté de participer activement à la construction d’un avenir plus équitable. Ce type de mobilisation démontre que les forces vives des communautés locales sont capables de proposer des réponses concrètes aux défis du genre et du développement.

Une journée pour se rappeler que tout commence ici

Instituée en 1998, la Journée Nationale de la Femme vise à célébrer les droits et le rôle des femmes dans la société gabonaise, en conformité avec les engagements internationaux du pays, notamment la CEDEF et le Protocole de Maputo. Cette nouvelle édition a montré que les initiatives locales, portées par des femmes pour les femmes, restent les plus efficaces pour impulser un changement durable.

Au siège de K.IN.G à Plaine Niger, l’autonomisation des femmes a cessé d’être un slogan. Elle est devenue une conversation sérieuse, un projet collectif, une promesse d’avenir.

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Diasparition d’Aaron Boupendza : Aristide Indou interpelle les autorités sur l’accompagnement des sportifs gabonais

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La mort tragique du footballeur international Aaron Boupendza, survenue le 16 avril dernier en Chine, continue de susciter l’émotion au Gabon. L’ancien attaquant des Panthères serait tombé du 11ᵉ étage de son immeuble, dans des circonstances que la police locale a qualifiées d’accidentelles. Mais les témoignages de son entourage, diffusés sur les réseaux sociaux, viennent brouiller les pistes et relancer les débats sur l’encadrement des figures sportives nationales.

Parmi les voix qui s’élèvent, celle d’Aristide Indou, homme politique actif dans l’Ogooué-Ivindo, vient rappeler que le drame de Boupendza dépasse le simple fait divers. Pour lui, cette disparition pose une question fondamentale : celle de la responsabilité de l’État dans la protection et l’accompagnement des stars du pays.

« Nous ne pouvons pas nous contenter de pleurer nos talents une fois qu’ils nous quittent. Il est temps que le Gabon apprenne à encadrer ses figures publiques, à les soutenir au-delà de leurs performances », déclare Aristide Indou.

Longtemps salué pour ses exploits sportifs, mais aussi parfois critiqué pour ses écarts de conduite, Aaron Boupendza était un joueur au tempérament vif, connu pour son franc-parler et son goût de la fête. Des aspects de sa personnalité qui, sans encadrement adéquat, ont parfois pu le mettre en difficulté. D’après Abdoul, présenté comme un proche du joueur, Boupendza aurait consommé de la drogue de synthèse — surnommée « bonbon » — les jours précédant sa mort, ce qui aurait pu altérer son état mental.

« Quand un joueur quitte le pays et se retrouve seul à l’étranger, sans accompagnement psychologique, sans repère, il devient vulnérable. Ce n’est pas une faiblesse personnelle, c’est un vide institutionnel », insiste Aristide Indou, qui appelle à une réflexion nationale sur la place du sport et des sportifs dans les politiques publiques.

Dans la dernière campagne présidentielle, le sport a été le grand absent des projets de société défendus par les candidats. Pourtant, il reste un vecteur puissant d’unité, d’influence et d’opportunités pour la jeunesse gabonaise.

À travers la disparition d’Aaron Boupendza, c’est une alerte silencieuse qui est lancée : celle d’un besoin urgent d’humaniser la réussite, de créer des structures d’écoute, et d’accorder enfin une place digne aux sportifs dans les priorités nationales.

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Fally Ipupa prolonge chez Because Éditions : une nouvelle étape dans une carrière au sommet

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Le chanteur congolais Fally Ipupa vient de renouveler son partenariat avec Because Éditions, l’un des éditeurs les plus influents de la scène musicale internationale. L’annonce a été faite cette semaine, confirmant une collaboration fructueuse entamée depuis plusieurs années et marquant une nouvelle étape dans la trajectoire impressionnante de l’artiste.

« Nous sommes très fiers d’annoncer la re-signature de Fally Ipupa chez Because Éditions ! », indique le communiqué officiel. Un message fort qui témoigne de la confiance mutuelle entre l’artiste et son éditeur, mais aussi de l’ambition partagée de continuer à porter la musique africaine au plus haut niveau.

Fally Ipupa, icône de la musique congolaise contemporaine, s’est imposé comme une figure majeure du paysage musical mondial. Maître dans l’art de fusionner rumba congolaise, afrobeat, rythmes urbains et pop internationale, il a su conquérir un public fidèle aux quatre coins du globe.

Cette re-signature symbolise plus qu’un simple accord commercial : elle représente la volonté stratégique de poursuivre une dynamique d’expansion et de structuration d’une carrière déjà exceptionnelle. Elle témoigne aussi du rôle croissant que joue la musique africaine dans l’industrie musicale mondiale, portée par des artistes capables de s’adresser aussi bien aux foules de Kinshasa qu’aux scènes européennes et américaines.

Entouré d’une équipe solide, Fally Ipupa continue d’écrire sa légende avec rigueur, vision et détermination. Ce nouveau chapitre s’annonce ambitieux, et les regards sont désormais tournés vers ses prochaines sorties, que ses fans attendent avec impatience.

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