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Le premier album de Tempête du Désert arrive…
En retrait depuis un certains temps, comme ses compères artistes en cette période de crise sanitaire, Tempête du Désert annonce son retour avec la sortie de son premier album qui s’intitule ” Coeur de flics “.
Nous nous demandions si Tempête du Désert envisageait sortir un album, tant l’artiste se contentait de pondre des singles à succès : Mani Mate le Nien, Parle fort, Tsouekè Na Bwedi, etc. Àpres près de 10 ans de carrière celui qui fait danser les civils et les corps habillés promet enfin de sortir un album ” Coeur de flics “. Un titre qui fait référence à l’activité professionnelle qu’il exerce au quotidien. Dépourvu de ses droits comme tout artiste Gabonais, Tempête du Désert gagne son bout de pain en servant son pays en qualité d’agent de police.
On en sait pas grande chose sur l’album que Tempête du Désert s’apprête à sortir. Pour l’heure la seule information que nous avons est qu’il s’intitule ” Coeur de flics “. Nous reviendrons sur cette actualité.
Mihi…
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“Le Gabon, leader en Afrique centrale contre les violences basées sur le genre” – Dr Marcia Angue Épouse Pemengoye
Dans le cadre des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre, Dr Marcia Angue épouse Pemengoye a mis en lumière le rôle précurseur du Gabon dans la lutte contre ce fléau. Spécialiste en gestion des violences, elle a souligné les avancées significatives réalisées par le pays, faisant du Gabon un leader incontesté en Afrique centrale.
Un cadre juridique solide et innovant
Pour Dr Marcia, l’adoption de la loi 006/21 en 2021 marque un tournant décisif dans la lutte contre les violences basées sur le genre. Ce texte offre un cadre juridique clair pour protéger les victimes et sanctionner les auteurs. “Avec cette loi, le Gabon est à l’avant-garde en Afrique centrale. Nous avons mis en place un outil juridique qui montre notre détermination à éradiquer ce fléau,” a-t-elle déclaré.
Cependant, elle insiste sur le rôle crucial de la sensibilisation pour maximiser l’impact de ce cadre légal : “Une loi, aussi puissante soit-elle, reste inefficace sans une mobilisation collective pour en garantir l’application.”
Des outils concrets pour accompagner les victimes
Au-delà des avancées législatives, Dr Marcia a salué les initiatives concrètes mises en place au Gabon, comme le numéro vert 1404, qui permet aux victimes de signaler anonymement des violences et d’obtenir une assistance immédiate. Des actions telles que les consultations juridiques gratuites, organisées le 28 novembre 2024 au centre d’accueil de Nzeng-Ayong, illustrent l’engagement du pays à rendre justice accessible à tous.
“Ces outils pratiques renforcent la confiance des victimes et montrent que le Gabon agit de manière concrète pour protéger ses citoyens,” a-t-elle souligné.
Un exemple pour la région
Selon Dr Marcia, les efforts du Gabon ne passent pas inaperçus dans la région. “Nous inspirons d’autres pays d’Afrique centrale à intensifier leurs propres actions. Le Gabon montre que lorsqu’il y a une volonté politique et des actions concertées, des progrès réels sont possibles,” a-t-elle affirmé.
Elle a également mis en avant le rôle des campagnes de sensibilisation dans les médias et les communautés, qui encouragent un changement des mentalités et une prise de conscience collective : “La prévention est essentielle. Nous ne nous contentons pas de traiter les conséquences, nous travaillons aussi à empêcher que ces violences ne surviennent.”
Un leadership reconnu
Pour Dr Marcia Angue épouse Pemengoye, le Gabon est aujourd’hui un modèle à suivre en Afrique centrale dans la lutte contre les violences basées sur le genre. “Nous avons encore des défis à relever, mais notre leadership est reconnu. Nous sommes un exemple d’engagement et d’innovation dans ce combat,” a-t-elle conclu.
Ce leadership, porté par des lois progressistes, des outils concrets et une mobilisation sans précédent, place le Gabon en position de pionnier régional, ouvrant la voie à une Afrique centrale plus juste et plus sécurisée.
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Référendum et soif d’eau : Moabi entre promesses politiques et pénurie criante
Alors que le Gabon est en pleine effervescence politique avec le référendum constitutionnel du 16 novembre 2024, Moabi, une petite ville située dans la province de la Nyanga, fait face à une crise bien plus urgente : l’absence d’eau potable. Depuis quelques jours, la pénurie d’eau touche particulièrement les habitants, compliquant leur quotidien. Des milliers de Gabonais affluant pour participer au vote sont confrontés à cette réalité dévastatrice.
Les habitants de Moabi, déjà fragilisés par la pauvreté, doivent se tourner vers des solutions précaires pour subvenir à leurs besoins en eau. L’eau de pluie est une alternative risquée, souvent insuffisante pour les besoins quotidiens, tandis que l’eau minérale reste hors de portée pour une grande partie de la population. Les infrastructures sont inexistantes et les points de distribution d’eau sont rares.
“On ne peut même pas boire l’eau qui sort des robinets, il n’y en a pas. Les rares bouteilles d’eau que l’on trouve sont beaucoup trop chères pour nous”, explique Lucienne, une habitante locale. “Ici, c’est la lutte pour avoir de l’eau, pendant que d’autres discutent de réformes.”
Les visiteurs venus de Libreville et des autres grandes villes du pays sont également touchés par cette situation. “On est venus pour participer au référendum, mais le manque d’eau, c’est un vrai problème”, témoigne Jean, un participant venu de la capitale. “Même si on veut soutenir le changement, il faudrait d’abord que les conditions de vie de base soient assurées.”
Malgré la promesse d’un avenir politique différent avec la nouvelle constitution, la réalité sur le terrain reste marquée par un décalage frappant. Le défi d’assurer un accès universel à l’eau potable, et d’améliorer les conditions de vie des Gabonais les plus vulnérables, demeure une priorité absolue pour le pays. Tant que ce problème persistera, toute réforme politique risquera de perdre de son sens pour ceux qui n’ont même pas un droit fondamental : l’eau.
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BENGS : L’Artiste Gabonais Qui Fait Sensation avec “Commando”
Le Gabon est sur le point de vivre une révolution musicale avec BENGS, un artiste dont le talent multiplie les attentes. À la croisée du rap et du chant, il propose une musique profonde et authentique, marquée par des influences variées et une écriture poétique. À la fin de 2024 et au début de 2025, BENGS semble prêt à marquer un tournant sur la scène musicale gabonaise.
Son premier single “Commando”, sorti sous le label COMMANDO++, fait déjà sensation. Diffusé en rotation sur Akûm Radio (98.3)et Urban FM, le titre a été sélectionné comme le “titre de la semaine” sur Urban FM (104.5) du 11 au 17 novembre 2024, un honneur qui témoigne de l’engouement croissant pour l’artiste. Dans ce morceau, BENGS rend hommage aux “commandos” de la vie quotidienne : ces personnes résilientes qui font face aux difficultés avec courage et détermination. Ce message résonne particulièrement auprès des jeunes, public principal de l’artiste.
En plus de ses talents de rappeur, BENGS est un guitariste accompli, ajoutant une dimension musicale unique à ses compositions. Ses morceaux allient des mélodies riches et des paroles introspectives, abordant des thèmes comme la résilience et l’espoir. Son écriture, à la fois incisive et pleine de sens, ne laisse personne indifférent.
Commando, Cover
La sortie officielle de “Commando” sur des plateformes comme YouTube est attendue dans les prochaines semaines, permettant ainsi au plus grand nombre de découvrir ce talent en pleine ascension et de s’imprégner de son univers musical unique.
Alors que la fin de l’année approche, BENGS prépare des prestations scéniques qui s’annoncent inoubliables. Avec sa créativité débordante et sa musique qui touche l’âme, l’artiste gabonais se positionne comme l’un des talents les plus prometteurs de sa génération.
BENGS est sans aucun doute un artiste à suivre de près dans les mois à venir. Ne manquez pas cette étoile montante, qui s’apprête à redéfinir la scène musicale du Gabon.