Connect with us

Clips

“Oulélélé”, le coup de pousse de Queen Fumi aux Lions de la Teranga

Publié il y a

le

par

À quelques heures de la finale de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations, qui va opposer l’équipe nationale du Sénégal à celle de l’Égypte,Queen Fumi, par sa nationalité sénégalaise encourage naturellement son équipe : le Sénégal.

Le soutien de la chanteuse date du début de la compétition. Pour l’occasion, Queen Fumi avait fait paraître un hit dédié aux Lions de la Teranga, Oulélélé. Tout au long des premiers pas des coéquipiers de Sadio Mané dans cette fête du football africain, ledit hit a accompagné les efforts des poulains du coah Aliou Cissé. Disponible en audio dans un premier, l’hymne des Lions vient de bénéficier d’un clip vidéo. Sorti à quelques heures de la finale, cette exclusivité visuelle a vocation à insuffler un esprit optimiste à une équipe qui cherchera à se défaire des douloureux souvenirs des finales perdues face au Cameroun en 2002 et à l’Algérie en 2019.

Mihi…

Advertisement
Commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Clips

Queen Koumb fait vibrer les racines gabonaises dans Missime, un retour aux sources empreint de spiritualité

Publié le

le

par

Queen Koumb est de retour, et elle frappe fort. Après une année 2024 marquée par la sortie de “Y’a affaire”, morceau aux accents urbains ivoiriens ayant reçu un accueil mitigé, la chanteuse gabonaise opère un tournant artistique saisissant avec Missime. Dans ce nouveau single, tradition et spiritualité se fondent en une œuvre puissante et profondément enracinée dans la culture gabonaise.

Avec Missime, Queen Koumb renoue avec les fondements qui ont fait sa notoriété : une musique identitaire, portée par une voix vibrante et une mise en scène ancrée dans le patrimoine. À travers ce morceau, elle invoque le Seigneur, sollicitant protection et bénédiction. Ce message spirituel, loin d’être anecdotique, s’intègre harmonieusement à une ambiance sonore marquée par des rythmes afro et des sonorités ancestrales, créant une atmosphère à la fois mystique et authentique.

Ce retour à l’essentiel n’est pas sans rappeler ses débuts avec le morceau “Sissa nu bu ngussu”, véritable révélation pour le public gabonais. Là encore, Queen Koumb avait su séduire par sa capacité à valoriser la tradition tout en gardant une portée contemporaine. Avec Missime, elle confirme cette volonté de faire vivre la culture locale à travers la musique.

Le clip, soigneusement réalisé, renforce cette intention. Tourné dans des lieux emblématiques — sur l’eau, au cœur de la forêt —, il met en scène des symboles traditionnels forts, des tenues aux accessoires, évoquant les rituels, les croyances et la beauté des pratiques ancestrales. Cette dimension visuelle accompagne avec justesse la portée spirituelle du morceau.

Ce positionnement artistique s’inscrit dans une dynamique plus large observée sur la scène gabonaise. À l’instar de LAMALGAME avec “Bassé”, de M.O.R dans “Moukou y’a Pindi“, ou encore du groupe AFRIK’AN LEGEND et son titre emblématique “C’est comment ?”, Queen Koumb participe à cette vague de renouveau musical qui puise dans les racines culturelles pour construire un avenir musical résolument authentique et moderne.

Missime n’est donc pas qu’un simple single : c’est une immersion dans l’âme gabonaise, une déclaration d’amour aux traditions, et une démonstration que la musique, lorsqu’elle s’inspire du patrimoine, peut transcender les frontières.

Queen Koumb signe ainsi un retour fort, à la fois audacieux et nécessaire, confirmant qu’elle reste l’une des voix les plus singulières et engagées de la scène musicale gabonaise.

La rédaction/Tanda

Continue Reading

Clips

Fally Ipupa signe son retour avec “Le Temps”, un single entre introspection et promesse d’un nouvel album

Publié le

le

par

Le chanteur congolais Fally Ipupa a dévoilé, ce vendredi 2 mai, son nouveau single intitulé Le Temps, disponible sur toutes les plateformes de streaming. Une sortie qui marque le retour de l’artiste sur le devant de la scène, et prépare le terrain pour son très attendu prochain album, Delirium.

Auteur, compositeur et interprète infatigable, Fally Ipupa ne cesse d’enrichir sa discographie. Avec Le Temps, il livre un morceau aux accents rumba, fidèle à son style, tout en y ajoutant une touche de douceur et de maturité musicale. Le titre est accompagné d’un visualizer tourné à Paris, qui met en scène le quotidien de l’artiste : balades dans les rues de la capitale française, instants de vie capturés avec simplicité, et immersion dans des sessions en studio. Une ambiance intimiste où l’on découvre Fally au plus près de sa musique, sur un fond de guitare qui souligne la sincérité du propos.

Le clip, bien que sobre, remplit son rôle : montrer l’artiste en pleine création, fidèle à lui-même, sans artifice. Une manière pour lui de maintenir le lien avec ses fans – les « Warriors » – et de confirmer que le projet Delirium est en bonne voie.

Au-delà de la mélodie envoûtante, le message de Le Temps se veut introspectif et inspirant. Fally y évoque la force du temps qui passe, ce temps qui éclaire, apaise, révèle, et remet chacun à sa place. Une philosophie qu’il partage avec élégance et maturité. Les amateurs de musique congolaise noteront également une réminiscence musicale du morceau Horizon 2000 du célèbre groupe Extra Musica, comme un clin d’œil à ses racines et à ses influences.

Avec ce nouveau titre, Fally Ipupa démontre une fois de plus sa capacité à se renouveler sans se renier, à mêler tradition et modernité, tout en préparant soigneusement le terrain pour un album qui s’annonce déjà incontournable.

Continue Reading

Clips

Keurtyce.E & Mamy Maf : “Bourreaux et victimes”, un cri pour l’unité nationale

Publié le

le

par

Depuis le 30 août 2023, le Gabon traverse une période de transition marquée par un souffle de liberté et d’espoir. Un tournant historique qui inspire de nombreux artistes, à l’image de Keurtyce.E et Mamy Maf. Avec Bourreaux et victimes, les deux artistes livrent un morceau puissant, mêlant introspection et appel à l’unité nationale.

Un plaidoyer musical contre la division

Alors que le pays tente de se reconstruire, Bourreaux et victimes met en lumière les fractures passées et les risques d’un repli sur soi. Keurtyce.E, connu pour son engagement dans ses textes, dénonce les mécanismes de division à travers des punchlines percutantes :

« La politique nous met à dos… On est tous dans le même bateau, s’il prend l’eau, on va tous couler. »

« Le malheur du Gabon n’est pas le diable, mais notre cœur. »

Un message fort qui résonne particulièrement dans un climat où les débats sur l’avenir du pays sont parfois virulents.

Mamy Maf, quant à elle, apporte une dimension émotionnelle intense. Sa voix, déjà remarquée dans Ilinge Linge avec Arnold Djoud ou encore Hommage à Serge Eninga avec un collectif d’artistes gabonais, enveloppe le morceau d’une gravité qui force à la réflexion.

Un clip sobre, une ambiance pesante

Visuellement, le clip de Bourreaux et victimes adopte une esthétique sombre et épurée, renforçant la puissance du message. Des regards lourds de sens, une mise en scène sobre et une atmosphère pesante viennent appuyer l’idée d’un pays à un tournant de son histoire.

Alors que la musique gabonaise a souvent été un vecteur de contestation et de revendication, ce titre s’inscrit dans la lignée des morceaux qui interrogent la société et invitent à la prise de conscience.

Avec Bourreaux et victimes, Keurtyce.E et Mamy Maf rappellent que l’avenir du Gabon ne se construira qu’à travers l’unité et la réconciliation. Un cri du cœur qui trouve un écho particulier dans cette période de transition.

Continue Reading